Commenti a: MEGLIO I LIBRI O I FILM TRATTI DAI LIBRI? http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/ Un open-blog. un luogo d\'incontro virtuale tra scrittori, lettori, librai, critici, giornalisti e operatori culturali Sat, 11 Sep 2021 08:46:19 +0000 http://wordpress.org/?v=2.9.2 hourly 1 Di: Kataweb.it - Blog - LETTERATITUDINE di Massimo Maugeri » Blog Archive » Osservatorio LitBlog n. 33 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-1083534 Kataweb.it - Blog - LETTERATITUDINE di Massimo Maugeri » Blog Archive » Osservatorio LitBlog n. 33 Wed, 09 Jul 2014 17:01:35 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-1083534 [...] [Ne approfittiamo per segnalare questo vecchio dibattito online organizzato su Letteratitudine: "Meglio i libri o i film tratti dai libri?"] [...] [...] [Ne approfittiamo per segnalare questo vecchio dibattito online organizzato su Letteratitudine: "Meglio i libri o i film tratti dai libri?"] [...]

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Di: Giselleqoh http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-930439 Giselleqoh Mon, 25 Nov 2013 10:24:00 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-930439 Les gens attrapent actuellement généralement glacial et vraiment mal à l'aise. Toutefois, cet exemple absolument pas produite. résistant à l'eau Goose Jackets peuvent forcer domaine de l'eau et manger brise , même versant extérieur, les connexions de tout le corps maintient la température . Contrairement à d'autres producteurs que l'apparence physique , tout comme , du design et style cool générales vestes [url=http://www.searchonmercerisland.com/]canada goose[/url] populaire. Absolument pas loin de journée , doudoune canada goose se trouve dans le style le plus courant plus encore une fois. Il obtiendra beaucoup plus de couleurs vives avec luxe. Il suffit de pas question dans les manteaux abordables produite [url=http://www.prideparanoia.com/]canada goose pas cher[/url] en utilisant ou encore les sacs des voyageurs utilisant, tous ont montré le bien de la bernache. La prise de face [url=http://www.searchonmercerisland.com/cg-femme-trillium-parka.html]CG Femme Trillium Parka[/url] nord tandis que les étoiles faveur, récemment, il procède également au-dessus de l'écran. Expositions dans beaucoup plus et beaucoup plus périodiques , ils se dispersent tous beaucoup plus par rapport aux monde. Ils ont des formes et des couleurs pour les hommes et les dames , parka canada goose vendant tous beaucoup plus par rapport aux monde . Avec un design cool , il ou elle peut présenter leur caractère un peu partout, imiter les acteurs qui détiennent des vestes [url=http://www.onefellowship.com/]canada goose[/url] à l'intérieur de leur dos, Canada vestes d'oie acquérir pour être les suggestions portant sur la masculinité. Canada goose paris depuis le meilleur grand choc pour une femme , gallons peut découvrir leurs propres copains beaucoup plus beau avec charme. Dans certains endroits, soldes canada goose aident à faire des métiers comme marié, vêtements de couples. Conserver développer un style , [url=http://www.onefellowship.com/canada-goose-femme.html]canada goose femme[/url] pour les femmes travaillent avec des nouvelles parfait c'est de déterminer femmes minces. Pas de problème, comment la graisse supplémentaire qu'ils sont vraiment, vestes Bernache du Canada à l'aide de conception de ceinture avec marque de design gallons mince et appellent à nouveau leur confiance en soi. veste canada goose est livré avec une obsession de haute qualité avec monocle de la compétence net qui montre dans chaque marchandise unique portant l'emballage. Beaucoup d'entre nous comprennent que [url=http://www.onefellowship.com/]doudoune canada goose[/url] comprennent gagné un degré massive des yeux des gens »avec sa qualité supérieure . Cet engagement envers l'excellence s'étend à peu conventionnelle, comme la Nouvelle Canada Goose abordable. Les bonnes nouvelles sont , nous en plus fournir des attributs les plus différentes [url=http://www.prideparanoia.com/doudoune-canada-goose-femme/canada-goose-freestyle-vest.html]Canada Goose Freestyle Vest[/url] vous pouvez découvrir sur le net, une fois la Bernache du Canada crée l'article, nous commercialisons faire de notre mieux . magasin canada goose de vente supplémentaire supplémentaire et souplesse peut-être beaucoup plus respirable et fournit l'élément de revêtement doux comme la consommation de répulsion de l'eau normale . Les gens attrapent actuellement généralement glacial et vraiment mal à l’aise. Toutefois, cet exemple absolument pas produite. résistant à l’eau Goose Jackets peuvent forcer domaine de l’eau et manger brise , même versant extérieur, les connexions de tout le corps maintient la température . Contrairement à d’autres producteurs que l’apparence physique , tout comme , du design et style cool générales vestes [url=http://www.searchonmercerisland.com/]canada goose[/url] populaire.

Absolument pas loin de journée , doudoune canada goose se trouve dans le style le plus courant plus encore une fois. Il obtiendra beaucoup plus de couleurs vives avec luxe. Il suffit de pas question dans les manteaux abordables produite [url=http://www.prideparanoia.com/]canada goose pas cher[/url] en utilisant ou encore les sacs des voyageurs utilisant, tous ont montré le bien de la bernache. La prise de face [url=http://www.searchonmercerisland.com/cg-femme-trillium-parka.html]CG Femme Trillium Parka[/url] nord tandis que les étoiles faveur, récemment, il procède également au-dessus de l’écran. Expositions dans beaucoup plus et beaucoup plus périodiques , ils se dispersent tous beaucoup plus par rapport aux monde. Ils ont des formes et des couleurs pour les hommes et les dames , parka canada goose vendant tous beaucoup plus par rapport aux monde .

Avec un design cool , il ou elle peut présenter leur caractère un peu partout, imiter les acteurs qui détiennent des vestes [url=http://www.onefellowship.com/]canada goose[/url] à l’intérieur de leur dos, Canada vestes d’oie acquérir pour être les suggestions portant sur la masculinité. Canada goose paris depuis le meilleur grand choc pour une femme , gallons peut découvrir leurs propres copains beaucoup plus beau avec charme. Dans certains endroits, soldes canada goose aident à faire des métiers comme marié, vêtements de couples. Conserver développer un style , [url=http://www.onefellowship.com/canada-goose-femme.html]canada goose femme[/url] pour les femmes travaillent avec des nouvelles parfait c’est de déterminer femmes minces.

Pas de problème, comment la graisse supplémentaire qu’ils sont vraiment, vestes Bernache du Canada à l’aide de conception de ceinture avec marque de design gallons mince et appellent à nouveau leur confiance en soi. veste canada goose est livré avec une obsession de haute qualité avec monocle de la compétence net qui montre dans chaque marchandise unique portant l’emballage. Beaucoup d’entre nous comprennent que [url=http://www.onefellowship.com/]doudoune canada goose[/url] comprennent gagné un degré massive des yeux des gens »avec sa qualité supérieure . Cet engagement envers l’excellence s’étend à peu conventionnelle, comme la Nouvelle Canada Goose abordable.

Les bonnes nouvelles sont , nous en plus fournir des attributs les plus différentes [url=http://www.prideparanoia.com/doudoune-canada-goose-femme/canada-goose-freestyle-vest.html]Canada Goose Freestyle Vest[/url] vous pouvez découvrir sur le net, une fois la Bernache du Canada crée l’article, nous commercialisons faire de notre mieux . magasin canada goose de vente supplémentaire supplémentaire et souplesse peut-être beaucoup plus respirable et fournit l’élément de revêtement doux comme la consommation de répulsion de l’eau normale .

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Di: BAGLIORI DEL GATTOPARDO. TRA LETTERATURA E CINEMA | letteratitudinenews http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-843979 BAGLIORI DEL GATTOPARDO. TRA LETTERATURA E CINEMA | letteratitudinenews Tue, 15 Oct 2013 05:10:11 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-843979 [...] siamo occupati del rapporto tra letteratura e cinema. E la (apparentemente banale) domanda “è meglio il libro o il film” è senz’altro applicabile alle due opere in questione. Come ben scrive Laura Restuccia [...] [...] siamo occupati del rapporto tra letteratura e cinema. E la (apparentemente banale) domanda “è meglio il libro o il film” è senz’altro applicabile alle due opere in questione. Come ben scrive Laura Restuccia [...]

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Di: Kataweb.it - Blog - LETTERATITUDINE di Massimo Maugeri » Blog Archive » NON È UN PAESE PER VECCHI: IL LIBRO, IL FILM http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-29226 Kataweb.it - Blog - LETTERATITUDINE di Massimo Maugeri » Blog Archive » NON È UN PAESE PER VECCHI: IL LIBRO, IL FILM Thu, 17 Apr 2008 20:16:10 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-29226 [...] Altre volte abbiamo discusso sul binomio libri-film. Lo abbiamo fatto in maniera approfondita in questo post. [...] [...] Altre volte abbiamo discusso sul binomio libri-film. Lo abbiamo fatto in maniera approfondita in questo post. [...]

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Di: flo_fli http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-24899 flo_fli Tue, 04 Mar 2008 18:05:01 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-24899 ciao, io ormai mi sono tolta il brutto vizio di vedere al cinema o in tv film tratti da libri..ne sono rimasta sempre delusa! ogni volta mi lascio tentare ma con caos calmo ho resistito, ho voluto conservare intatte quelle pagine così introspettive che io, con la mia fantasia, ho materializzato nella mia mente. Lo stesso vale per Parlami d'amore, ho letto il libro ma non sono andata a vederlo al cinema..anche se onestamente si nota che il libro è scritto già con l'idea di farne un film così come era per Non ti muovere della Mazzantini. Ho deciso di non andare a vedere neppure Un giorno perfetto della Mazzucco, il libro è stato da me molto apprezzato, ha infranto i miei sogni da mille e una fiaba con un finale crudo e vero, lontano dalla banalità del vissero felici e contenti. L'origine del mio distacco da film nati da libri deriva dalla visione de La casa degli Spiriti, ho amato tanto quel libro, lungo, intenso e vederlo ridotto in 2 ore mi ha rattristato*kiss ciao, io ormai mi sono tolta il brutto vizio di vedere al cinema o in tv film tratti da libri..ne sono rimasta sempre delusa! ogni volta mi lascio tentare ma con caos calmo ho resistito, ho voluto conservare intatte quelle pagine così introspettive che io, con la mia fantasia, ho materializzato nella mia mente. Lo stesso vale per Parlami d’amore, ho letto il libro ma non sono andata a vederlo al cinema..anche se onestamente si nota che il libro è scritto già con l’idea di farne un film così come era per Non ti muovere della Mazzantini. Ho deciso di non andare a vedere neppure Un giorno perfetto della Mazzucco, il libro è stato da me molto apprezzato, ha infranto i miei sogni da mille e una fiaba con un finale crudo e vero, lontano dalla banalità del vissero felici e contenti. L’origine del mio distacco da film nati da libri deriva dalla visione de La casa degli Spiriti, ho amato tanto quel libro, lungo, intenso e vederlo ridotto in 2 ore mi ha rattristato*kiss

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Di: Rosa Maria/BitLit http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-24099 Rosa Maria/BitLit Thu, 28 Feb 2008 08:07:36 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-24099 Meglio i libri che i film, ma tra "Il Gattopardo" di Visconti e quello di Tomasi di Lampedusa c'è una bella corrispondenza tra pellicola e testo ricercata (e raggiunta) dal grande regista. Mi vengono in mente altri casi meno felici, tra questi i film tratti "liberamente" dai romanzi del mio conterraneo Enzo Russo, scrittore della Mondadori, geniale giallista e soprattutto , come ama definirsi lui, narratore. Con Salvatores, invece, mi è capitata una cosa alquanto insolita: ho visto prima il film e poi ho letto "Io non ho paura". E quel film l'ho amato, anche dopo aver letto il romanzo. Infine, un piccolo consiglio per gli acquisti. Avete mai visto "Old boy" del coreano Park Chan Wook (quello della trilogia delle vendetta)? è tratto fa un manga giapponese, creato nel 1997 da Tsuchiya Garon. I fumetti sono molto belli e il film è davvero splendido, forse il mio preferito di questi ultimi anni. Meglio i libri che i film, ma tra “Il Gattopardo” di Visconti e quello di Tomasi di Lampedusa c’è una bella corrispondenza tra pellicola e testo ricercata (e raggiunta) dal grande regista. Mi vengono in mente altri casi meno felici, tra questi i film tratti “liberamente” dai romanzi del mio conterraneo Enzo Russo, scrittore della Mondadori, geniale giallista e soprattutto , come ama definirsi lui, narratore. Con Salvatores, invece, mi è capitata una cosa alquanto insolita: ho visto prima il film e poi ho letto “Io non ho paura”. E quel film l’ho amato, anche dopo aver letto il romanzo. Infine, un piccolo consiglio per gli acquisti. Avete mai visto “Old boy” del coreano Park Chan Wook (quello della trilogia delle vendetta)? è tratto fa un manga giapponese, creato nel 1997 da Tsuchiya Garon. I fumetti sono molto belli e il film è davvero splendido, forse il mio preferito di questi ultimi anni.

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Di: Cinemascoop http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23957 Cinemascoop Tue, 26 Feb 2008 09:19:54 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23957 A proposito di relazione tra film e libri. Imperdibile "Questo non è un paese per vecchi" di Cormac McCarthy. Sia il libro, che il film. Se avete seguito la notte degli Oscar sapete già che il film ne ha intascato più d'uno. Trovate informazioni sul nostro blog: http://cinemascoop.splinder.com/ A proposito di relazione tra film e libri. Imperdibile “Questo non è un paese per vecchi” di Cormac McCarthy. Sia il libro, che il film.
Se avete seguito la notte degli Oscar sapete già che il film ne ha intascato più d’uno.
Trovate informazioni sul nostro blog:
http://cinemascoop.splinder.com/

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Di: Pino Granata http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23955 Pino Granata Tue, 26 Feb 2008 05:50:53 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23955 Cinema e Letteratura sono due rette parallele che non si incontrano mai. Anticamente ero un appassionato di cinema, da quando ho scoperto la letteratura penso al cinema con grande sufficienza. A parte pochissime eccezioni il cinema non riuscirà mai a trasformare le parole in immagini. C'è l'eccezione Kubrick che è vero ha migliorato L'Arancia Meccanica, ma che ha perso alla grande la sfida con Doppio Sogno. Tra I Malavoglia e La Terra Trema non c'è lotta. Verga è Verga. E dire che Visconti è uno dei migliori registi quando si tratta di portare al cinema la letteratura. Forse l'unica eccezione è il Tom Jones di Tony Richardson- John Osborne( si è meglio non dimenticare lo sceneggiatore) che secondo me è superiore al pur bellissimo romanzo di Fielding. Ma anche il Blade Runner di Ridley Scott è forse meglio del romanzo di Philip K Dick. Per il resto è meglio far scendere l'oblio. Pensate a Guerra e Pace e lì avrete i limiti del cinema. Cinema e Letteratura sono due rette parallele che non si incontrano mai. Anticamente ero un appassionato di cinema, da quando ho scoperto la letteratura penso al cinema con grande sufficienza. A parte pochissime eccezioni il cinema non riuscirà mai a trasformare le parole in immagini. C’è l’eccezione Kubrick che è vero ha migliorato L’Arancia Meccanica, ma che ha perso alla grande la sfida con Doppio Sogno. Tra I Malavoglia e La Terra Trema non c’è lotta. Verga è Verga. E dire che Visconti è uno dei migliori registi quando si tratta di portare al cinema la letteratura. Forse l’unica eccezione è il Tom Jones di Tony Richardson- John Osborne( si è meglio non dimenticare lo sceneggiatore) che secondo me è superiore al pur bellissimo romanzo di Fielding. Ma anche il Blade Runner di Ridley Scott è forse meglio del romanzo di Philip K Dick. Per il resto è meglio far scendere l’oblio. Pensate a Guerra e Pace e lì avrete i limiti del cinema.

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Di: francesco di domenico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23830 francesco di domenico Sun, 24 Feb 2008 15:17:19 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23830 @Carlo S., mi fa piacere che certi "dettagli" dell'ultima metà del Novecento siano stati colti. Amo molto "Il Deserto..." in tutt'e due le versioni letteraria e filmica e ti chiedo, se mi puoi scrivere, passandomi il tuo indirizzo vorrei inviarti un gioco letterario fatto sull'opera di Buzzati: la scrittura del decimo capitolo. Scrivimi al mio indirizzo: francesco.didomenico11@tin.it @Carlo S., mi fa piacere che certi “dettagli” dell’ultima metà del Novecento siano stati colti.
Amo molto “Il Deserto…” in tutt’e due le versioni letteraria e filmica e ti chiedo, se mi puoi scrivere, passandomi il tuo indirizzo vorrei inviarti un gioco letterario fatto sull’opera di Buzzati: la scrittura del decimo capitolo.
Scrivimi al mio indirizzo:
francesco.didomenico11@tin.it

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Di: Carlo S. http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23823 Carlo S. Sun, 24 Feb 2008 11:40:51 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23823 Un punto che mi preme sotolineare: da Francesco di Domenico al Prof. Santoro mi pare affiori una necessità di rivalutare Valerio Zurlini e riproporre il suo cinema, così letterario (anche nella "Prima notte di quiete" che pur non provenendo da un romanzo forse è il più letterario di tutti: per le sue atmosfere nebbiose, per i suoi personaggi, per il richiamo a Vanina Vanini , per la trama stessa costruita come fosse un romanzo più che un film...). Il Deserto dei tartari poi è uno dei miei film preferiti in assoluto, così come il libro di Buzzati in letteratura. Però Zurlini non viene citato quasi mai tra i grandi registi del nostro cinema. Sicuramente molto meno di quanto merita. Un punto che mi preme sotolineare: da Francesco di Domenico al Prof. Santoro mi pare affiori una necessità di rivalutare Valerio Zurlini e riproporre il suo cinema, così letterario (anche nella “Prima notte di quiete” che pur non provenendo da un romanzo forse è il più letterario di tutti: per le sue atmosfere nebbiose, per i suoi personaggi, per il richiamo a Vanina Vanini , per la trama stessa costruita come fosse un romanzo più che un film…).
Il Deserto dei tartari poi è uno dei miei film preferiti in assoluto, così come il libro di Buzzati in letteratura.
Però Zurlini non viene citato quasi mai tra i grandi registi del nostro cinema. Sicuramente molto meno di quanto merita.

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Di: Susanna http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23820 Susanna Sun, 24 Feb 2008 11:07:29 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23820 Secondo me, non esistono creditori o debitori, la letteratura non deve niente al cinema e viceversa. Però bisogna sottolineare il fatto che nascono prima i libri e poi i film, ed è sicuramente un dato da non sottovalutare. Il libro è già una ricca fonte di dialoghi, descrizioni e stati d'animo che il cinema non è sempre in grado di fotocopiare coerentemente. Recentemente ho visto (in televisione) "Jane Eyre" di Susanna White e mi ha colpito così tanto da voler comprare il libro. Errore madornale. Ogni frase del romanzo mi riportava alla memoria le immagini del film, arricchite da una descrizione più dettagliata degli stati d'animo dei personaggi. Però devo dire che il film e il romanzo, in questo caso, sono sullo stesso piano. E' difficile trovare qualcuno che apprezzi più il film, avendo letto prima il libro perchè le aspettative della nostra immaginazione vengono deluse dalle scelte dei professionisti del cinema. E' altamente improbabile vedere un film come ce lo eravamo immaginato nella nostra testa. Ho visto "Caos calmo" ma non ho ancora letto il libro; in questo caso, il film non mi è piaciuto però sarei curiosa di leggere il romanzo di Veronesi. Consiglio il film "Il cacciatore di aquiloni" tratto dal romanzo di Khaled Hosseini. Secondo me, non esistono creditori o debitori, la letteratura non deve niente al cinema e viceversa. Però bisogna sottolineare il fatto che nascono prima i libri e poi i film, ed è sicuramente un dato da non sottovalutare. Il libro è già una ricca fonte di dialoghi, descrizioni e stati d’animo che il cinema non è sempre in grado di fotocopiare coerentemente. Recentemente ho visto (in televisione) “Jane Eyre” di Susanna White e mi ha colpito così tanto da voler comprare il libro. Errore madornale. Ogni frase del romanzo mi riportava alla memoria le immagini del film, arricchite da una descrizione più dettagliata degli stati d’animo dei personaggi. Però devo dire che il film e il romanzo, in questo caso, sono sullo stesso piano. E’ difficile trovare qualcuno che apprezzi più il film, avendo letto prima il libro perchè le aspettative della nostra immaginazione vengono deluse dalle scelte dei professionisti del cinema. E’ altamente improbabile vedere un film come ce lo eravamo immaginato nella nostra testa.
Ho visto “Caos calmo” ma non ho ancora letto il libro; in questo caso, il film non mi è piaciuto però sarei curiosa di leggere il romanzo di Veronesi. Consiglio il film “Il cacciatore di aquiloni” tratto dal romanzo di Khaled Hosseini.

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Di: francesco di domenico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23798 francesco di domenico Sat, 23 Feb 2008 20:07:33 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23798 Mio Dio, Massimo, il professor Santoro mi ha stupito, inorgoglito; mi ha reso felice con un percorso mirabile: ha fatto un film parlando di cinema. Tra i tanti ha parlato di due perle ( una l'avevo già citata), "Il deserto dei Tartari e "Il Clan dei Siciliani", oltre a tutte le scelte che condivido appieno, che ho proposto per decenni, sentendomi dire (per il "Clan"), che era cinema di serie B da snobetti e intellettualini di serie b. Se il Prof. Santoro rivisita il blog, gli offro i miei ringraziamenti sinceri. Mio Dio, Massimo, il professor Santoro mi ha stupito, inorgoglito; mi ha reso felice con un percorso mirabile: ha fatto un film parlando di cinema.
Tra i tanti ha parlato di due perle ( una l’avevo già citata), “Il deserto dei Tartari e “Il Clan dei Siciliani”, oltre a tutte le scelte che condivido appieno, che ho proposto per decenni, sentendomi dire (per il “Clan”), che era cinema di serie B da snobetti e intellettualini di serie b.
Se il Prof. Santoro rivisita il blog, gli offro i miei ringraziamenti sinceri.

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Di: Maria Lucia Riccioli http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23787 Maria Lucia Riccioli Sat, 23 Feb 2008 14:24:01 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23787 Caro Massimo, tutto ok... non so se i miei commenti arrivano. Faccio una prova. Caro Massimo, tutto ok… non so se i miei commenti arrivano. Faccio una prova.

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Di: "Letteratura e cinema. Quale rapporto?" di Marco Santoro http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23782 "Letteratura e cinema. Quale rapporto?" di Marco Santoro Sat, 23 Feb 2008 11:29:45 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23782 Di getto. Quasi un gioco? - 1. Non sono mai stato una persona incline allo stupore, nemmeno da ragazzo. Eppure, ricordo la mia sincera meraviglia, non priva di una notevole dose di incredulità, allorché un compagno del liceo (ultimo anno) sostenne di non essere particolarmente attratto dal cinema. La dichiarazione, sincera ancorché non priva di una qualche esuberanza provocatoria, lasciò ancor più basiti me e altri compagni, giacché esternata in primo luogo da un giovane certamente colto, preparato e fornito, si potrebbe dire, di un quoziente di intelligenza considerevole, in secondo luogo in occasione di una delle riunioni “impegnate” del mercoledì, che noi compagni di scuola eravamo soliti tenere per confrontarci su tematiche “serie”, da quelle culturali a quelle di politica, ecc. Quel mercoledì si stava parlando, lo ricordo benissimo, de “La ragazza di Bube”, che avevamo letto tutti da poco tempo (benché pubblicato ormai da alcuni anni), dal momento che avevamo avuto l’occasione e, aggiungo, la fortuna di potere vedere il film in un cinema di terza (o forse di quarta?) visione: già, perché all’epoca (e non sto parlando proprio di tempi preistorici) esistevano le sale di prima, di seconda e almeno di terza visione (per non parlare delle sale parrocchiali, dove talvolta, molto raramente a dire il vero, poteva valere la pena di andare). La notevole differenza di prezzo fra le tre (o quattro) categorie era dovuta non solo alla maggiore o minore tempestività con la quale venivano proiettate le pellicole, ma anche ad una considerevole disparità di comodità. Si passava dalle poltrone piacevolmente imbottite, di colori gradevoli e disposte in file adeguatamente distanziate l’una dall’altra (onde si scongiurava il pericolo di essere colti dal desiderio quasi irrefrenabile di decapitare la testa dello spettatore troppo alto e talvolta anche ondeggiante assiso dinnanzi), da schermi ampi e lindi e da un sonoro fedele e, mi pare di ricordare, addirittura in certi casi già stereofonico, si passava a mano a mano, dicevo, da una tale situazione di confort al disagio più assoluto, narcotizzato soltanto nel momento in cui sul telo bianco (almeno così doveva essere in origine) cominciavano a scorrere le immagini del film. Non v’è dubbio, lo confesso, che al di là della storia di Mara («la prima apparizione umana positiva di grande statura della nuova narrativa italiana», come ebbe a scrivere Calvino), al di là della sapiente regia di Luigi Comencini (ai nostri giovani e impegnati occhi ormai riscattatosi con “Tutti a casa” e con appunto “La ragazza di Bube”, dagli esordi segnati da “L’imperatore di Capri”, “Pane, amore e fantasia”, Pane, amore e gelosia, ecc., ma da tempo queste ultime pellicole potrebbero essere giudicate diversamente), al di là della presenza di George Chakiris (mitico protagonista dell’ancor più mitico “West Side Story”), ciò che catturò e tiranneggiò la nostra ammirazione fu la bellezza straordinaria di Claudia Cardinale, vera e propria chimera ingenua e nel contempo conturbante e intrigante per quasi tutti noi, sin dai tempi de “I soliti ignoti”, “Un maledetto imbroglio”, “Il bell’Antonio” e soprattutto “La ragazza con la valigia”. Ma torniamo alla stupefacente e, nell’approdo conclusivo, provocatoria posizione del mio compagno di liceo. In effetti egli aveva finito con l’estremizzare e il radicalizzare un discorso partito da una iniziale considerazione in molti casi condivisibile, anche se per certi versi discutibile in relazione al film di Comencini. Egli infatti aveva esordito col sostenere che non solo non era possibile tradurre in linguaggio cinematografico un’opera letteraria, ma altresì che inevitabilmente un film finiva col banalizzare il più autentico messaggio, le complesse implicazioni, i molteplici piani narrativi e il pathos stesso di un romanzo o di un racconto. A riguardo egli ricordava alcuni casi a suo avviso esemplari: da “Il cielo è rosso” di Giuseppe Berto (portato sullo schermo da Claudio Gora, esordiente regista, se non erro) a “Filumena Maturano” di Eduardo De Filippo (divenuta “Matrimonio all’italiana” per la regia di Vittorio De Sica), dai vari romanzi di Fogazzaro a quelli di Moravia (in specie “Gli indifferenti”), per non parlare di alcuni autori “classici” della letteratura straniera: da Čechov a Dickens, da Doyle a Dumas padre, da Fitzgerald a Hugo, ecc, fino a giungere alle numerose quanto spesso ridicole trasposizioni del Michele Strogoff e di altri romanzi di Verne o di altri autori che non moltissimi anni prima avevano fatto “volare” la nostra fantasia. A poco o a nulla valse controbattere che il panorama complessivo era ricco di altri casi. Ad esempio, “La lunga notte del ’43”, tratto da “Cinque storie ferraresi” di Bassani, grazie alla regia di Florestano Vancini, con eccellenti recitazioni di Gabriele Ferzetti, Enrico Maria Salerno, Andrea Checchi, Gino Cervi ed altri, era riuscito ad emozionarci e a concretizzare, in virtù anche della suggestiva atmosfera di una Ferrara cupa e quasi minacciosa, l’ambiente e la tensione della tragica esecuzione di un gruppo di antifascisti. Ugualmente inutile fu ricordare la resa eccellente, anche se a tratti un po’ libera e indubitabilmente sganciata dalle implicazioni lessico-sociali del romanzo di Gadda, di “Un maledetto imbroglio”, pellicola nobilitata dalla superba interpretazione di Pietro Germi (per altro anche regista), Saro Urzì, Franco Fabrizi e altri e, sottolineavamo, dalla presenza della Cardinale. Di spessore davvero notevole la variopinta galleria di personaggi dai mille vizi e dalle poche virtù; lo stesso Ingravallo, a specchio del commissario gaddiano, fino al momento in cui la matassa si dipana, sembra svolgere la propria funzione all’insegna della routine, noiosa e in certo modo subita. Sempre più arroccato sulle proprie posizioni fino ad opporre un granitico rifiuto a qualsivoglia tentativo di dialogo, il mio compagno riuscì comunque a fare incuneare in tutti noi il sospetto di una nostra eccessivamente incondizionata ammirazione nei confronti del cinema. Ma solo per un momento. Un istante di incertezza: incertezza repentinamente polverizzata dalle mille e mille scene di film che quasi prepotentemente cominciarono a impossessarsi della nostra mente, persino in maniera confusa e quasi caotica. Eravamo alla fine degli anni Sessanta: e non è qui il caso di dire altro. Chi ha vissuto quell’epoca potrà capirmi a volo e chi non l’ha vissuta … difficilmente potrebbe realmente capire. Erano gli anni, per tornare sul territorio proprio di queste pagine, di <em>Bella di giorno, Gangster Story, Il laureato, Play Time, C’era una volta il West, 2001: Odissea nello spazio, Rosemary’s Baby, La via lattea, Butch Cassidy, Il clan dei siciliani, Dillinger è morto, Easy Rider, Il mucchio selvaggio, Z. L’orgia del potere,</em> ecc. Andare al cinema era emozionante, come lo era il dopocinema, preferibilmente in pizzeria, con discussioni, polemiche, battute, apprezzamenti, elogi smisurati e spesso enfatici e, talvolta, altrettanto enfatiche e impietose censure. Una scena, una battuta, una sequenza veniva rivissuta infinite volte e ciascuno si affannava a svelarne un dettaglio sfuggito agli altri. Palestra preziosa quanto suggestiva per sollecitare e rafforzare gli strumenti della critica erano poi i cineforum, in merito ai quali non può non venire alla mente la simpatica e dissacrante parodia di Scola in “C’eravamo tanto amati”. Ben altra cosa rispetto a quelli attuali. Si andava al cineforum per vedere il film, certo, ma non si riponeva minore aspettativa nel dibattito che sarebbe seguito, in occasione del quale, è vero, non mancavano coloro che erano ansiosi di sciorinare le proprie conoscenze e le proprie competenze “tecniche”, come non mancavano gli accaniti patrocinatori della coscienza “politica”, pervicacemente inclini a ricondurre le più diverse problematiche nell’alveo delle tematiche e delle tensioni ideologico-sociali. Ma numerosi erano coloro i quali erano pronti a rivisitare i passaggi più stimolanti della pellicola “proiettata”, per confrontarsi con gli altri, per accogliere suggestione interpretative e arricchire non solo le proprie conoscenze (anche specificatamente filmiche) ma altresì, o soprattutto, la propria coscienza civile e l’attitudine a rispettare le diverse opinioni. - 2. Se inaccettabile poteva e tuttora agli occhi miei e, ne sono certo, di moltissimi altri, può apparire il disinteresse per il cinema (ma, lo si è già chiarito, quella del mio giovane compagno era posizione provocatoriamente oltranzista), non si può negare che le perplessità in merito a come un’opera letteraria sia stata spesso “tradotta” in linguaggio cinematografico ha indubitabilmente fondamento. I casi più eclatanti sono quelli in cui persino la trama di un romanzo o di un racconto viene, verrebbe da dire, spudoratamente tradita e trasformata quasi sempre (sono davvero rarissime le eccezioni) in una vicenda banale, pur se talvolta spettacolare (e stendiamo un velo pietoso su un altro filone: quello dei cosiddetti film “storici”). Oltre alla maggiore o minore fedeltà alla “traccia”, v’è poi il problema della maniera in cui sia i protagonisti che i diversi personaggi, fino a giungere a quelli talvolta solo apparentemente secondari, vengono ri-disegnati in virtù o in conseguenza della loro “lettura” rielaborata sia dal regista che dagli interpreti. E che dire dell’effettiva resa di ambienti, atmosfere e mille particolari che nella traduzione filmica sono sottoposti a, direi inevitabili, mutamenti, se non addirittura a veri e propri “tradimenti”? Non è un caso, d’altronde, se, per evitare o quanto meno ridimensionare i rischi della “infedeltà” nei confronti dell’originale, sempre più spesso gli scrittori stessi sono stati e sono artefici della sceneggiatura del film: soluzione, questa, che ovviamente può essere praticata solo a condizione che lo scrittore sia vivente! La difficoltà, o se si vuole l’impossibilità di rendere giustizia o meglio di rispettare il testo scritto, d’altra parte, non è addebitabile alle incongrue capacità di registi, attori e diversi artefici che a vario titolo concorrono alla realizzazione di un film. In realtà, è agevole annotazione, il fatto è che ci si trova dinnanzi a due “linguaggi”, testo scritto e testo audio-visivo, completamente diversi, dotati ciascuno di potenzialità, forme e procedure di comunicazione assai differenti e non omologabili. Se si aggiunge che un film è comunque una “traduzione” di un originale e, in quanto tale (c’è bisogno di dilungarsi sul tema?), autonoma e comunque espressione di nuova sensibilità creativa, ne consegue che il discorso sulla maggiore o minore “fedeltà” in sostanza ha poco senso. E poi, fedeltà rispetto a cosa? Ma se a ciascuno di noi, fortunatamente, è dato cogliere da un romanzo, da un racconto, ecc. emozioni, messaggi, suggestioni tanto personali da farci finanche materializzare le fisionomie dei personaggi, i colori e le dimensioni dei paesaggi, ecc., come si può pensare che la “lettura” del regista, degli attori, degli sceneggiatori, degli scenografi, ecc. possa essere la più autentica, la più conforme alla stessa volontà dello scrittore? Senza dimenticare che a loro volta anche gli spettatori, pur vistosamente pilotati dall’espressione di un volto, dalla tonalità di una battuta, dalla inquadratura di un ambiente, rielaborano il messaggio recepito secondo i propri individuali strumenti culturali e sentimentali (e ruolo non secondario in proposito ricoprono le colonne sonore). Ciò detto e precisato, mi è difficile resistere alla tentazione di ricordare qualche film che mi ha colpito per avere almeno in parte, o in buona parte, tradotto il testo letterario in linea con la mia personale lettura. Poche “schegge”, per così dire, totalmente svincolate da ogni considerazione e giudizio strettamente attinenti lo spessore e lo specifico letterario delle opere da cui le pellicole sono più o meno liberamente tratte. Nel contempo nessuna ambizione di analisi critica cinematografica, in merito alla quale, va precisato, non potrei vantare alcuna esperienza specifica. Confido, pertanto, nella benevolenza del lettore che comprenderà perfettamente che tutto questo breve intervento è dovuto esclusivamente al mio amore verso il cinema. - 3. Come il più classico dei giochi che si possono fare con gli amici una sera a cena, tutti rigorosamente amanti del cinema e parimenti tutti rigorosamente né cineasti né critici cinematografici, ecco dunque un elenco di dieci film, con alcune sintetiche annotazioni. Il primo che mi viene in mente è il celebre “Il Gattopardo”, per la magistrale regia di Luchino Visconti. Davvero incisive le interpretazioni di Claudia Cardinale, Alain Delon, Paolo Stoppa, Rina Morelli, Romolo Valli, Serge Reggiani, ecc. Tutti grandi attori. Ma la performance maggiore la offre, ce la regala uno straordinario Burt Lancaster. Non avrei saputo e potuto immaginare il volto, i gesti, la mimica, lo sguardo del principe don Fabrizio di Salina diversi da quelli “rappresentati” dall’attore statunitense. E che dire di Tancredi? D’altro canto, per inciso, Visconti è riuscito a sollecitare probabilmente le migliori qualità artistiche sia in Delon che in Lancaster: basti pensare, rispettivamente, a “Rocco e i suoi fratelli” e a “Gruppo di famiglia in un interno”. Certo, il regista enfatizza la sintesi fra realismo storico e sfumature proustiane pur presenti nel romanzo di Giuseppe Tomasi di Lampedusa; tuttavia riesce a comunicare le profonde implicazioni, non prive di nostalgica rassegnazione, del tramonto ineludibile delle idealità non solo risorgimentali, ma di un mondo ovattato e in qualche modo sordo alle tensioni e ai cambiamenti emergenti, imbrigliati comunque nel tentacolare trasformismo politico. Indimenticabile la lunghissima scena del ballo, segnato dal valzer inedito di Giuseppe Verdi, dove l’aristocrazia festeggia la scongiurata rivoluzione e, nel fasto e nell’allegria, dà corpo e testimonia la verità insita nella nota battuta: «se vogliamo che tutto rimanga com’è, bisogna che tutto cambi». “Il deserto dei Tartari”, tratto dall’omonimo romanzo di Dino Buzzati, è diretto da Valerio Zurlini nel 1976. La vicenda è ambientata nella cornice storica dei primi anni del XX secolo ai confini orientali dell’impero austro-ungarico e il regista ne accentua la concretezza, suggerendo in qualche modo quel che c’è al di là dei fatti e, se si vuole, della stessa opera letteraria. Se Jacques Perrin fornisce una prova di livello superiore al suo standard, “mostri sacri”, quali Vittorio Gasman, Jean-Luois Trintignant, Philippe Noiret e Max von Sydow ( ma occorrerà citare anche Giuliano Gemma, Fernando Rey Francisco Rabal), cooperano sensibilmente ad intrigare lo spettatore nell’attesa quasi beckettiana di un nemico incombente ma che non si materializza mai. Non era certo agevole riportare sullo schermo un quadro squisitamente “letterario”, godibile e assimilabile in termini di lettura, i cui personaggi sembrano avvolti in una nebbia indefinita che ne ostacola (ma non ne inibisce) la comprensione dei caratteri e delle psicologie: ebbene Zurlini con ammirevole sottigliezza allusiva riesce a non infrangere gli argini del suggerimento e scongiura la tentazione di rendere esplicito ciò che non andava manifestato. Sarà forse per la presenza di Gian Maria Volonté, gigante a tutto tondo della recitazione, che coltivo un ricordo molto positivo del drammatico “Uomini contro”, tratto dal bel libro “Un anno sull’altipiano” di Emilio Lussu. La problematica affrontata, inerente l’impiego spregiudicato e inumano delle truppe italiane durante la prima guerra mondiale e, più in generale, gli orrori della guerra, di qualsiasi guerra, poteva rischiosamente indurre a banale e superficiale populismo, tradendo il più autentico messaggio del romanzo. Ora, quantunque qualche cedimento (mi pare di ricordare, ma il ricordo risale ai primi anni Settanta) alberghi qui e là (principalmente sotto il versante delle implicazioni politiche), nell’insieme il regista, Francesco Rosi, è riuscito a realizzare un film che, che nel cogliere tra l’altro i drammi interiori dei personaggi principali, lo sgomento e spesso la rassegnazione dei soldati, coinvolti e immersi in una realtà per loro estranea e il tragico “macello” del conflitto, pervicacemente e ottusamente fomentato dalle alte gerarchie militari, concretizza in immagini buona parte delle suggestioni che all’epoca mi suscitò la lettura del libro. Uno dei migliori exploit interpretativi della Loren, a mia memoria, può essere considerato quello nelle vesti della Cesira del noto romanzo moraviano “La ciociara”. D’altro canto il tandem De Sica-Loren ha lasciato un segno davvero significativo nel cinema non soltanto italiano. Il De Sica de “La ciociara”, confesso, non è quello che tanto mi aveva colpito con “Ladri di biciclette” o “Umbert D” o “Miracolo a Milano”; in ogni caso con il film tratto dal romanzo moraviano egli fornisce certamente una prova di notevole spessore, per altro sapientemente giocata fra conformità al testo letterario e abile esaltazione delle qualità interpretative dei tanti attori coinvolti. Da segnalare, a mio parere, l’ottima prova di Jean Paul Belmondo, che dà vita al personaggio di Michele in maniera impeccabile, almeno secondo il mio giudizio. Inutile ricordare qui, poi, la memorabile quanto terribile scena dello stupro. L’edizione integrale di “Kaos”, che dura più di tre ore, non è mai arrivata nelle sale cinematografiche, dove è approdata invece quella decurtata dell’episodio “Requiem”. Ciononostante il film dei fratelli Taviani non è penalizzato oltremisura e riesce ugualmente a sensibilizzare lo spettatore in merito alle tradizioni antropologiche, culturali e storiche, del popolo siciliano. Le novelle di Pirandello, più volte utilizzate dal cinema, in questo caso acquistano un nuovo e intrigante spessore sullo schermo, arricchite di una corposità che affonda le radici nella vita ottocentesca della Sicilia e che è proiettata a riproporre storie, costumi e mentalità di cui rimane solo il ricordo o il racconto tramandato. Opera vistosamente unitaria, nonostante i differenti registri tematici, “Kaos” si avvale di una performance assai convincente di Franco Franchi e Ciccio Ingrassia (un recupero in qualche modo analogo a quello pasoliniano di Totò). Ero giovanissimo quando lessi “Le ragazze di Sanfrediano” di Vasco Pratolini e forse per questo approfittai subito della prima occasione che ebbi per andare a vedere l’omonimo film in una sala parrocchiale al Vomero, quartiere napoletano, che fra le poche cercava di disancorarsi negli anni Sessanta da manifeste modalità di indottrinamento. Il film segna, mi pare, l’esordio di Valerio Zurlini (del quale mi piace ricordare almeno, oltre ai già citati “La ragazza con la valigia” e “Il deserto dei Tartari”, l’ottimo “Cronaca familiare” (tratto dal romanzo pratoliniano del 1947 e caratterizzato dal mirabile equilibrio tra ricchezza emotiva dell’esperienza privata e contesto storico-sociale) e “La prima notte di quiete”, che con garbo traduce il clima spensierato e ricco di aspettative nel quale si muovono i personaggi pratoliniani. Su ben altro fronte si dispone il settimo film che desidero ricordare: “A ciascuno il suo”. Un grande Gian Maria Volontà e una non meno brava Irene Papas (ma come non ricordare anche Gabriele Ferzetti e Salvo Randone?) interpretano con straordinaria efficacia due personaggi per certi versi simbolici di una Sicilia oppressa e condizionata dal potere tentacolare e sfuggente della mafia. Il romanzo di Leonardo Sciascia è di struggente e spregiudicata denuncia e il film di Elio Petri, grazie tra l’altro alla colonna sonora di Luis Bacalov, enfatizzando alcuni aspetti, sollecita perentoriamente la coscienza dello spettatore su di un bubbone che troppi all’epoca desideravano occultare o quanto meno ridimensionare. Tre film, infine, più recenti: “Sostiene Pereira” (1995), “L’amore molesto” (1995) e “Non ti muovere” (2004). Film molto diversi fra loro, eppure in qualche modo accomunati da un vistoso impulso a rispettare quanto meno le atmosfere dei rispettivi romanzi e i connotati nevralgici del travaglio interiore dei protagonisti, ciascuno teso a prendere dolorosamente coscienza, sia pure sotto versanti molto diversi, di un passato e di una realtà ora più o meno inconsciamente ovattati e anestetizzati (l’anziano giornalista del romanzo tabucchiano), ora rimossi (la Delia del libro della Ferrante), ora soffertamene traditi (il neurologo della Mazzantini). Ottime le “prestazioni” di tutti gli attori impegnati nelle tre pellicole; non v’è dubbio tuttavia che le prove di Mastroianni e, aggiungerei, Daniel Auteuil (Sostiene Pereira), Anna Bonaiuto e Angela Luce (L’amore molesto) e Sergio Castellitto e Penelope Cruz, davvero straordinaria (Non ti muovere) non possono che essere ricordate fra le migliori nello scenario della cinematografia italiana degli ultimi anni. Qui mi fermo. Viva il cinema P.S.: il compagno di scuola da cui sono partito, è tuttora mio carissimo amico. Non intendo svelarne il nome. Posso solo dire che, ovviamente, è da tempo un critico cinematografico molto acuto e raffinato e, non a caso, assai apprezzato. - Università di Roma “La Sapienza” Marco Santoro - Abstract: Letteratura e cinema. Quale rapporto? Si può ipotizzare una “fedeltà” fra testo letterario e linguaggio cinematografico? Il breve intervento intende solo rinnovare l’attenzione su questi punti e, nella parte finale, ripropone dieci casi di film tratti da romanzi o racconti che per motivi diversi hanno attirato l’attenzione dell’autore. Di getto. Quasi un gioco?
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1. Non sono mai stato una persona incline allo stupore, nemmeno da ragazzo. Eppure, ricordo la mia sincera meraviglia, non priva di una notevole dose di incredulità, allorché un compagno del liceo (ultimo anno) sostenne di non essere particolarmente attratto dal cinema. La dichiarazione, sincera ancorché non priva di una qualche esuberanza provocatoria, lasciò ancor più basiti me e altri compagni, giacché esternata in primo luogo da un giovane certamente colto, preparato e fornito, si potrebbe dire, di un quoziente di intelligenza considerevole, in secondo luogo in occasione di una delle riunioni “impegnate” del mercoledì, che noi compagni di scuola eravamo soliti tenere per confrontarci su tematiche “serie”, da quelle culturali a quelle di politica, ecc.
Quel mercoledì si stava parlando, lo ricordo benissimo, de “La ragazza di Bube”, che avevamo letto tutti da poco tempo (benché pubblicato ormai da alcuni anni), dal momento che avevamo avuto l’occasione e, aggiungo, la fortuna di potere vedere il film in un cinema di terza (o forse di quarta?) visione: già, perché all’epoca (e non sto parlando proprio di tempi preistorici) esistevano le sale di prima, di seconda e almeno di terza visione (per non parlare delle sale parrocchiali, dove talvolta, molto raramente a dire il vero, poteva valere la pena di andare). La notevole differenza di prezzo fra le tre (o quattro) categorie era dovuta non solo alla maggiore o minore tempestività con la quale venivano proiettate le pellicole, ma anche ad una considerevole disparità di comodità. Si passava dalle poltrone piacevolmente imbottite, di colori gradevoli e disposte in file adeguatamente distanziate l’una dall’altra (onde si scongiurava il pericolo di essere colti dal desiderio quasi irrefrenabile di decapitare la testa dello spettatore troppo alto e talvolta anche ondeggiante assiso dinnanzi), da schermi ampi e lindi e da un sonoro fedele e, mi pare di ricordare, addirittura in certi casi già stereofonico, si passava a mano a mano, dicevo, da una tale situazione di confort al disagio più assoluto, narcotizzato soltanto nel momento in cui sul telo bianco (almeno così doveva essere in origine) cominciavano a scorrere le immagini del film.
Non v’è dubbio, lo confesso, che al di là della storia di Mara («la prima apparizione umana positiva di grande statura della nuova narrativa italiana», come ebbe a scrivere Calvino), al di là della sapiente regia di Luigi Comencini (ai nostri giovani e impegnati occhi ormai riscattatosi con “Tutti a casa” e con appunto “La ragazza di Bube”, dagli esordi segnati da “L’imperatore di Capri”, “Pane, amore e fantasia”, Pane, amore e gelosia, ecc., ma da tempo queste ultime pellicole potrebbero essere giudicate diversamente), al di là della presenza di George Chakiris (mitico protagonista dell’ancor più mitico “West Side Story”), ciò che catturò e tiranneggiò la nostra ammirazione fu la bellezza straordinaria di Claudia Cardinale, vera e propria chimera ingenua e nel contempo conturbante e intrigante per quasi tutti noi, sin dai tempi de “I soliti ignoti”, “Un maledetto imbroglio”, “Il bell’Antonio” e soprattutto “La ragazza con la valigia”.
Ma torniamo alla stupefacente e, nell’approdo conclusivo, provocatoria posizione del mio compagno di liceo. In effetti egli aveva finito con l’estremizzare e il radicalizzare un discorso partito da una iniziale considerazione in molti casi condivisibile, anche se per certi versi discutibile in relazione al film di Comencini. Egli infatti aveva esordito col sostenere che non solo non era possibile tradurre in linguaggio cinematografico un’opera letteraria, ma altresì che inevitabilmente un film finiva col banalizzare il più autentico messaggio, le complesse implicazioni, i molteplici piani narrativi e il pathos stesso di un romanzo o di un racconto. A riguardo egli ricordava alcuni casi a suo avviso esemplari: da “Il cielo è rosso” di Giuseppe Berto (portato sullo schermo da Claudio Gora, esordiente regista, se non erro) a “Filumena Maturano” di Eduardo De Filippo (divenuta “Matrimonio all’italiana” per la regia di Vittorio De Sica), dai vari romanzi di Fogazzaro a quelli di Moravia (in specie “Gli indifferenti”), per non parlare di alcuni autori “classici” della letteratura straniera: da Čechov a Dickens, da Doyle a Dumas padre, da Fitzgerald a Hugo, ecc, fino a giungere alle numerose quanto spesso ridicole trasposizioni del Michele Strogoff e di altri romanzi di Verne o di altri autori che non moltissimi anni prima avevano fatto “volare” la nostra fantasia.
A poco o a nulla valse controbattere che il panorama complessivo era ricco di altri casi. Ad esempio, “La lunga notte del ’43”, tratto da “Cinque storie ferraresi” di Bassani, grazie alla regia di Florestano Vancini, con eccellenti recitazioni di Gabriele Ferzetti, Enrico Maria Salerno, Andrea Checchi, Gino Cervi ed altri, era riuscito ad emozionarci e a concretizzare, in virtù anche della suggestiva atmosfera di una Ferrara cupa e quasi minacciosa, l’ambiente e la tensione della tragica esecuzione di un gruppo di antifascisti. Ugualmente inutile fu ricordare la resa eccellente, anche se a tratti un po’ libera e indubitabilmente sganciata dalle implicazioni lessico-sociali del romanzo di Gadda, di “Un maledetto imbroglio”, pellicola nobilitata dalla superba interpretazione di Pietro Germi (per altro anche regista), Saro Urzì, Franco Fabrizi e altri e, sottolineavamo, dalla presenza della Cardinale. Di spessore davvero notevole la variopinta galleria di personaggi dai mille vizi e dalle poche virtù; lo stesso Ingravallo, a specchio del commissario gaddiano, fino al momento in cui la matassa si dipana, sembra svolgere la propria funzione all’insegna della routine, noiosa e in certo modo subita.
Sempre più arroccato sulle proprie posizioni fino ad opporre un granitico rifiuto a qualsivoglia tentativo di dialogo, il mio compagno riuscì comunque a fare incuneare in tutti noi il sospetto di una nostra eccessivamente incondizionata ammirazione nei confronti del cinema. Ma solo per un momento. Un istante di incertezza: incertezza repentinamente polverizzata dalle mille e mille scene di film che quasi prepotentemente cominciarono a impossessarsi della nostra mente, persino in maniera confusa e quasi caotica. Eravamo alla fine degli anni Sessanta: e non è qui il caso di dire altro. Chi ha vissuto quell’epoca potrà capirmi a volo e chi non l’ha vissuta … difficilmente potrebbe realmente capire. Erano gli anni, per tornare sul territorio proprio di queste pagine, di Bella di giorno, Gangster Story, Il laureato, Play Time, C’era una volta il West, 2001: Odissea nello spazio, Rosemary’s Baby, La via lattea, Butch Cassidy, Il clan dei siciliani, Dillinger è morto, Easy Rider, Il mucchio selvaggio, Z. L’orgia del potere, ecc. Andare al cinema era emozionante, come lo era il dopocinema, preferibilmente in pizzeria, con discussioni, polemiche, battute, apprezzamenti, elogi smisurati e spesso enfatici e, talvolta, altrettanto enfatiche e impietose censure. Una scena, una battuta, una sequenza veniva rivissuta infinite volte e ciascuno si affannava a svelarne un dettaglio sfuggito agli altri.
Palestra preziosa quanto suggestiva per sollecitare e rafforzare gli strumenti della critica erano poi i cineforum, in merito ai quali non può non venire alla mente la simpatica e dissacrante parodia di Scola in “C’eravamo tanto amati”. Ben altra cosa rispetto a quelli attuali. Si andava al cineforum per vedere il film, certo, ma non si riponeva minore aspettativa nel dibattito che sarebbe seguito, in occasione del quale, è vero, non mancavano coloro che erano ansiosi di sciorinare le proprie conoscenze e le proprie competenze “tecniche”, come non mancavano gli accaniti patrocinatori della coscienza “politica”, pervicacemente inclini a ricondurre le più diverse problematiche nell’alveo delle tematiche e delle tensioni ideologico-sociali. Ma numerosi erano coloro i quali erano pronti a rivisitare i passaggi più stimolanti della pellicola “proiettata”, per confrontarsi con gli altri, per accogliere suggestione interpretative e arricchire non solo le proprie conoscenze (anche specificatamente filmiche) ma altresì, o soprattutto, la propria coscienza civile e l’attitudine a rispettare le diverse opinioni.
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2. Se inaccettabile poteva e tuttora agli occhi miei e, ne sono certo, di moltissimi altri, può apparire il disinteresse per il cinema (ma, lo si è già chiarito, quella del mio giovane compagno era posizione provocatoriamente oltranzista), non si può negare che le perplessità in merito a come un’opera letteraria sia stata spesso “tradotta” in linguaggio cinematografico ha indubitabilmente fondamento. I casi più eclatanti sono quelli in cui persino la trama di un romanzo o di un racconto viene, verrebbe da dire, spudoratamente tradita e trasformata quasi sempre (sono davvero rarissime le eccezioni) in una vicenda banale, pur se talvolta spettacolare (e stendiamo un velo pietoso su un altro filone: quello dei cosiddetti film “storici”). Oltre alla maggiore o minore fedeltà alla “traccia”, v’è poi il problema della maniera in cui sia i protagonisti che i diversi personaggi, fino a giungere a quelli talvolta solo apparentemente secondari, vengono ri-disegnati in virtù o in conseguenza della loro “lettura” rielaborata sia dal regista che dagli interpreti. E che dire dell’effettiva resa di ambienti, atmosfere e mille particolari che nella traduzione filmica sono sottoposti a, direi inevitabili, mutamenti, se non addirittura a veri e propri “tradimenti”? Non è un caso, d’altronde, se, per evitare o quanto meno ridimensionare i rischi della “infedeltà” nei confronti dell’originale, sempre più spesso gli scrittori stessi sono stati e sono artefici della sceneggiatura del film: soluzione, questa, che ovviamente può essere praticata solo a condizione che lo scrittore sia vivente!
La difficoltà, o se si vuole l’impossibilità di rendere giustizia o meglio di rispettare il testo scritto, d’altra parte, non è addebitabile alle incongrue capacità di registi, attori e diversi artefici che a vario titolo concorrono alla realizzazione di un film. In realtà, è agevole annotazione, il fatto è che ci si trova dinnanzi a due “linguaggi”, testo scritto e testo audio-visivo, completamente diversi, dotati ciascuno di potenzialità, forme e procedure di comunicazione assai differenti e non omologabili. Se si aggiunge che un film è comunque una “traduzione” di un originale e, in quanto tale (c’è bisogno di dilungarsi sul tema?), autonoma e comunque espressione di nuova sensibilità creativa, ne consegue che il discorso sulla maggiore o minore “fedeltà” in sostanza ha poco senso. E poi, fedeltà rispetto a cosa? Ma se a ciascuno di noi, fortunatamente, è dato cogliere da un romanzo, da un racconto, ecc. emozioni, messaggi, suggestioni tanto personali da farci finanche materializzare le fisionomie dei personaggi, i colori e le dimensioni dei paesaggi, ecc., come si può pensare che la “lettura” del regista, degli attori, degli sceneggiatori, degli scenografi, ecc. possa essere la più autentica, la più conforme alla stessa volontà dello scrittore? Senza dimenticare che a loro volta anche gli spettatori, pur vistosamente pilotati dall’espressione di un volto, dalla tonalità di una battuta, dalla inquadratura di un ambiente, rielaborano il messaggio recepito secondo i propri individuali strumenti culturali e sentimentali (e ruolo non secondario in proposito ricoprono le colonne sonore).
Ciò detto e precisato, mi è difficile resistere alla tentazione di ricordare qualche film che mi ha colpito per avere almeno in parte, o in buona parte, tradotto il testo letterario in linea con la mia personale lettura. Poche “schegge”, per così dire, totalmente svincolate da ogni considerazione e giudizio strettamente attinenti lo spessore e lo specifico letterario delle opere da cui le pellicole sono più o meno liberamente tratte. Nel contempo nessuna ambizione di analisi critica cinematografica, in merito alla quale, va precisato, non potrei vantare alcuna esperienza specifica. Confido, pertanto, nella benevolenza del lettore che comprenderà perfettamente che tutto questo breve intervento è dovuto esclusivamente al mio amore verso il cinema.
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3. Come il più classico dei giochi che si possono fare con gli amici una sera a cena, tutti rigorosamente amanti del cinema e parimenti tutti rigorosamente né cineasti né critici cinematografici, ecco dunque un elenco di dieci film, con alcune sintetiche annotazioni.
Il primo che mi viene in mente è il celebre “Il Gattopardo”, per la magistrale regia di Luchino Visconti. Davvero incisive le interpretazioni di Claudia Cardinale, Alain Delon, Paolo Stoppa, Rina Morelli, Romolo Valli, Serge Reggiani, ecc. Tutti grandi attori. Ma la performance maggiore la offre, ce la regala uno straordinario Burt Lancaster. Non avrei saputo e potuto immaginare il volto, i gesti, la mimica, lo sguardo del principe don Fabrizio di Salina diversi da quelli “rappresentati” dall’attore statunitense. E che dire di Tancredi? D’altro canto, per inciso, Visconti è riuscito a sollecitare probabilmente le migliori qualità artistiche sia in Delon che in Lancaster: basti pensare, rispettivamente, a “Rocco e i suoi fratelli” e a “Gruppo di famiglia in un interno”. Certo, il regista enfatizza la sintesi fra realismo storico e sfumature proustiane pur presenti nel romanzo di Giuseppe Tomasi di Lampedusa; tuttavia riesce a comunicare le profonde implicazioni, non prive di nostalgica rassegnazione, del tramonto ineludibile delle idealità non solo risorgimentali, ma di un mondo ovattato e in qualche modo sordo alle tensioni e ai cambiamenti emergenti, imbrigliati comunque nel tentacolare trasformismo politico. Indimenticabile la lunghissima scena del ballo, segnato dal valzer inedito di Giuseppe Verdi, dove l’aristocrazia festeggia la scongiurata rivoluzione e, nel fasto e nell’allegria, dà corpo e testimonia la verità insita nella nota battuta: «se vogliamo che tutto rimanga com’è, bisogna che tutto cambi».
“Il deserto dei Tartari”, tratto dall’omonimo romanzo di Dino Buzzati, è diretto da Valerio Zurlini nel 1976. La vicenda è ambientata nella cornice storica dei primi anni del XX secolo ai confini orientali dell’impero austro-ungarico e il regista ne accentua la concretezza, suggerendo in qualche modo quel che c’è al di là dei fatti e, se si vuole, della stessa opera letteraria. Se Jacques Perrin fornisce una prova di livello superiore al suo standard, “mostri sacri”, quali Vittorio Gasman, Jean-Luois Trintignant, Philippe Noiret e Max von Sydow ( ma occorrerà citare anche Giuliano Gemma, Fernando Rey Francisco Rabal), cooperano sensibilmente ad intrigare lo spettatore nell’attesa quasi beckettiana di un nemico incombente ma che non si materializza mai. Non era certo agevole riportare sullo schermo un quadro squisitamente “letterario”, godibile e assimilabile in termini di lettura, i cui personaggi sembrano avvolti in una nebbia indefinita che ne ostacola (ma non ne inibisce) la comprensione dei caratteri e delle psicologie: ebbene Zurlini con ammirevole sottigliezza allusiva riesce a non infrangere gli argini del suggerimento e scongiura la tentazione di rendere esplicito ciò che non andava manifestato.
Sarà forse per la presenza di Gian Maria Volonté, gigante a tutto tondo della recitazione, che coltivo un ricordo molto positivo del drammatico “Uomini contro”, tratto dal bel libro “Un anno sull’altipiano” di Emilio Lussu. La problematica affrontata, inerente l’impiego spregiudicato e inumano delle truppe italiane durante la prima guerra mondiale e, più in generale, gli orrori della guerra, di qualsiasi guerra, poteva rischiosamente indurre a banale e superficiale populismo, tradendo il più autentico messaggio del romanzo. Ora, quantunque qualche cedimento (mi pare di ricordare, ma il ricordo risale ai primi anni Settanta) alberghi qui e là (principalmente sotto il versante delle implicazioni politiche), nell’insieme il regista, Francesco Rosi, è riuscito a realizzare un film che, che nel cogliere tra l’altro i drammi interiori dei personaggi principali, lo sgomento e spesso la rassegnazione dei soldati, coinvolti e immersi in una realtà per loro estranea e il tragico “macello” del conflitto, pervicacemente e ottusamente fomentato dalle alte gerarchie militari, concretizza in immagini buona parte delle suggestioni che all’epoca mi suscitò la lettura del libro.
Uno dei migliori exploit interpretativi della Loren, a mia memoria, può essere considerato quello nelle vesti della Cesira del noto romanzo moraviano “La ciociara”. D’altro canto il tandem De Sica-Loren ha lasciato un segno davvero significativo nel cinema non soltanto italiano. Il De Sica de “La ciociara”, confesso, non è quello che tanto mi aveva colpito con “Ladri di biciclette” o “Umbert D” o “Miracolo a Milano”; in ogni caso con il film tratto dal romanzo moraviano egli fornisce certamente una prova di notevole spessore, per altro sapientemente giocata fra conformità al testo letterario e abile esaltazione delle qualità interpretative dei tanti attori coinvolti. Da segnalare, a mio parere, l’ottima prova di Jean Paul Belmondo, che dà vita al personaggio di Michele in maniera impeccabile, almeno secondo il mio giudizio. Inutile ricordare qui, poi, la memorabile quanto terribile scena dello stupro.
L’edizione integrale di “Kaos”, che dura più di tre ore, non è mai arrivata nelle sale cinematografiche, dove è approdata invece quella decurtata dell’episodio “Requiem”. Ciononostante il film dei fratelli Taviani non è penalizzato oltremisura e riesce ugualmente a sensibilizzare lo spettatore in merito alle tradizioni antropologiche, culturali e storiche, del popolo siciliano. Le novelle di Pirandello, più volte utilizzate dal cinema, in questo caso acquistano un nuovo e intrigante spessore sullo schermo, arricchite di una corposità che affonda le radici nella vita ottocentesca della Sicilia e che è proiettata a riproporre storie, costumi e mentalità di cui rimane solo il ricordo o il racconto tramandato. Opera vistosamente unitaria, nonostante i differenti registri tematici, “Kaos” si avvale di una performance assai convincente di Franco Franchi e Ciccio Ingrassia (un recupero in qualche modo analogo a quello pasoliniano di Totò).
Ero giovanissimo quando lessi “Le ragazze di Sanfrediano” di Vasco Pratolini e forse per questo approfittai subito della prima occasione che ebbi per andare a vedere l’omonimo film in una sala parrocchiale al Vomero, quartiere napoletano, che fra le poche cercava di disancorarsi negli anni Sessanta da manifeste modalità di indottrinamento. Il film segna, mi pare, l’esordio di Valerio Zurlini (del quale mi piace ricordare almeno, oltre ai già citati “La ragazza con la valigia” e “Il deserto dei Tartari”, l’ottimo “Cronaca familiare” (tratto dal romanzo pratoliniano del 1947 e caratterizzato dal mirabile equilibrio tra ricchezza emotiva dell’esperienza privata e contesto storico-sociale) e “La prima notte di quiete”, che con garbo traduce il clima spensierato e ricco di aspettative nel quale si muovono i personaggi pratoliniani.
Su ben altro fronte si dispone il settimo film che desidero ricordare: “A ciascuno il suo”. Un grande Gian Maria Volontà e una non meno brava Irene Papas (ma come non ricordare anche Gabriele Ferzetti e Salvo Randone?) interpretano con straordinaria efficacia due personaggi per certi versi simbolici di una Sicilia oppressa e condizionata dal potere tentacolare e sfuggente della mafia. Il romanzo di Leonardo Sciascia è di struggente e spregiudicata denuncia e il film di Elio Petri, grazie tra l’altro alla colonna sonora di Luis Bacalov, enfatizzando alcuni aspetti, sollecita perentoriamente la coscienza dello spettatore su di un bubbone che troppi all’epoca desideravano occultare o quanto meno ridimensionare.
Tre film, infine, più recenti: “Sostiene Pereira” (1995), “L’amore molesto” (1995) e “Non ti muovere” (2004). Film molto diversi fra loro, eppure in qualche modo accomunati da un vistoso impulso a rispettare quanto meno le atmosfere dei rispettivi romanzi e i connotati nevralgici del travaglio interiore dei protagonisti, ciascuno teso a prendere dolorosamente coscienza, sia pure sotto versanti molto diversi, di un passato e di una realtà ora più o meno inconsciamente ovattati e anestetizzati (l’anziano giornalista del romanzo tabucchiano), ora rimossi (la Delia del libro della Ferrante), ora soffertamene traditi (il neurologo della Mazzantini). Ottime le “prestazioni” di tutti gli attori impegnati nelle tre pellicole; non v’è dubbio tuttavia che le prove di Mastroianni e, aggiungerei, Daniel Auteuil (Sostiene Pereira), Anna Bonaiuto e Angela Luce (L’amore molesto) e Sergio Castellitto e Penelope Cruz, davvero straordinaria (Non ti muovere) non possono che essere ricordate fra le migliori nello scenario della cinematografia italiana degli ultimi anni.
Qui mi fermo. Viva il cinema
P.S.: il compagno di scuola da cui sono partito, è tuttora mio carissimo amico. Non intendo svelarne il nome. Posso solo dire che, ovviamente, è da tempo un critico cinematografico molto acuto e raffinato e, non a caso, assai apprezzato.
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Università di Roma “La Sapienza”
Marco Santoro
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Abstract:
Letteratura e cinema. Quale rapporto? Si può ipotizzare una “fedeltà” fra testo letterario e linguaggio cinematografico? Il breve intervento intende solo rinnovare l’attenzione su questi punti e, nella parte finale, ripropone dieci casi di film tratti da romanzi o racconti che per motivi diversi hanno attirato l’attenzione dell’autore.

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23781 Massimo Maugeri Sat, 23 Feb 2008 11:28:43 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23781 Desidero ringraziare pubblicamente il prof. Marco Santoro dell'Università di Roma “La Sapienza” per avermi inviato il testo di un suo intervento pubblicato sul n. 4, 2006 della rivista che egli stesso dirige: "Esperienze letterarie". Si tratta di un fascicolo monografico dedicato a Letteratura e cinema. Pubblico l'intervento di Santoro nel commento che segue. Desidero ringraziare pubblicamente il prof. Marco Santoro dell’Università di Roma “La Sapienza” per avermi inviato il testo di un suo intervento pubblicato sul n. 4, 2006 della rivista che egli stesso dirige: “Esperienze letterarie”. Si tratta di un fascicolo monografico dedicato a Letteratura e cinema.
Pubblico l’intervento di Santoro nel commento che segue.

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23775 Massimo Maugeri Sat, 23 Feb 2008 10:20:21 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23775 Caro Sergio, è ovvio che la mia "voce fuori campo" era provocatoria. In linea di massima sono d'accordo con te, giacché scrivo e non faccio cinema. Tuttavia penso sempre alla diversità dei punti di vista. Tempo fa ebbi una discussione infinita con un mio amico appassionato di cinema. Lui sosteneva che il cinema (quello con la c maiuscola) fosse la più completa delle arti, quella che riesce a inglobare l'immagine, il movimento, la scrittura, la recitazione e la musica. Discussione infinita e mai conclusa. Caro Sergio,
è ovvio che la mia “voce fuori campo” era provocatoria. In linea di massima sono d’accordo con te, giacché scrivo e non faccio cinema.
Tuttavia penso sempre alla diversità dei punti di vista.
Tempo fa ebbi una discussione infinita con un mio amico appassionato di cinema.
Lui sosteneva che il cinema (quello con la c maiuscola) fosse la più completa delle arti, quella che riesce a inglobare l’immagine, il movimento, la scrittura, la recitazione e la musica.
Discussione infinita e mai conclusa.

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23760 Sergio Sozi Sat, 23 Feb 2008 02:41:23 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23760 P.S. Sarei contento se al posto di D'Annunzio si ergesse il fantasma vivente di Arbasino Alberto, ex scolaro di Gadda, a parlare di Veronesi. Sarebbe un assurdo comico. Bellissimo: invitiamoli entrambi a Letteratitudine, anzi lo faccio io: Arbasino milis ignotus!! Veronesi petronianus! Venite ibi, pargulos, a discettare della vostra perdizion letteraria. Venite, venite! P.S.
Sarei contento se al posto di D’Annunzio si ergesse il fantasma vivente di Arbasino Alberto, ex scolaro di Gadda, a parlare di Veronesi. Sarebbe un assurdo comico. Bellissimo: invitiamoli entrambi a Letteratitudine, anzi lo faccio io: Arbasino milis ignotus!! Veronesi petronianus! Venite ibi, pargulos, a discettare della vostra perdizion letteraria. Venite, venite!

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23759 Sergio Sozi Sat, 23 Feb 2008 02:36:44 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23759 D'Orrico, orribilis sed indispenabilis (aoh, scherzo col latino). Brrr. Scontato D'Ortico, ma purtroppo vero: quello che e' stato riportato da Massimo qua sopra e' infatti un concentrato di luoghi comuni che oggi ci serve, visto il disorientamento dell'Italia. Ma sarebbe meglio fosse qualcun altro a parlare. D'Annunzio? Boh. D'Orricus horribilis. Halleluja! Ne hai sparate meno del solito. D’Orrico, orribilis sed indispenabilis (aoh, scherzo col latino). Brrr. Scontato D’Ortico, ma purtroppo vero: quello che e’ stato riportato da Massimo qua sopra e’ infatti un concentrato di luoghi comuni che oggi ci serve, visto il disorientamento dell’Italia. Ma sarebbe meglio fosse qualcun altro a parlare. D’Annunzio? Boh.
D’Orricus horribilis. Halleluja! Ne hai sparate meno del solito.

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23754 Sergio Sozi Fri, 22 Feb 2008 22:22:05 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23754 Caro Dido': Nononono! Voglio Giancarlo Giannini (o Gigi Proietti) nelle vesti di Euterpe, Gassmanino come Novak (e' antipatico e scemo quanto lui), una straniera poi va bene per la Cosulich, scegli tu (chi la conosce? tanto deve far la parte di un essere insopportabile e chissenefrega). Poi mettici: Clemente Bellini interpretato da qualche tipo alla Filippo Timi (lo conosco personalmente, e' perugino come me), la voce del professor Spitella (appare solo al telefono, ricordi?) la voglio di Foa o al limite di Giorgio Albertazzi, Romolo Testa, infine, il protagonista, mi piacerebbe vederlo con la faccia stralunata di Dario Fo. Ecco. Le musiche? Direi Nino Rota. Ma anche Bacalov. Regia del fantasma di Fellini e nessun altro fra i piedi. Ah! Ah! Ah! Ciao, vecchio mio! S. Caro Dido’:
Nononono!
Voglio Giancarlo Giannini (o Gigi Proietti) nelle vesti di Euterpe, Gassmanino come Novak (e’ antipatico e scemo quanto lui), una straniera poi va bene per la Cosulich, scegli tu (chi la conosce? tanto deve far la parte di un essere insopportabile e chissenefrega). Poi mettici: Clemente Bellini interpretato da qualche tipo alla Filippo Timi (lo conosco personalmente, e’ perugino come me), la voce del professor Spitella (appare solo al telefono, ricordi?) la voglio di Foa o al limite di Giorgio Albertazzi, Romolo Testa, infine, il protagonista, mi piacerebbe vederlo con la faccia stralunata di Dario Fo.
Ecco.
Le musiche? Direi Nino Rota. Ma anche Bacalov. Regia del fantasma di Fellini e nessun altro fra i piedi.
Ah! Ah! Ah!
Ciao, vecchio mio!
S.

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23751 Sergio Sozi Fri, 22 Feb 2008 22:03:47 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23751 Massimo caro, Grazie per il tentativo - ohibo' miseramente fallito - di unire il tuo conterraneo Quasimodo ad un film. Io pero' intendevo dare forma a quello che diceva Quasimodo, non riprodurne la voce ''fuori campo'', di questo ne sarei stato capace anch'io. La poesia vera, Massimo, e la grande scrittura in genere, non e' riproducibile con delle immagini. Ammettilo, dai. Come rappresenteresti la parola ''spirito'' - senza voce narrante in una pellicola? Impossibile. Invece la parola scritta lo fa, capisci vecchio mio? Lo fa dicendo solo ''spirito''. Ma l'immagine non puo' dire, l'immagine deve far vedere. Bacioni Sergio Massimo caro,
Grazie per il tentativo – ohibo’ miseramente fallito – di unire il tuo conterraneo Quasimodo ad un film. Io pero’ intendevo dare forma a quello che diceva Quasimodo, non riprodurne la voce ”fuori campo”, di questo ne sarei stato capace anch’io. La poesia vera, Massimo, e la grande scrittura in genere, non e’ riproducibile con delle immagini. Ammettilo, dai. Come rappresenteresti la parola ‘’spirito” – senza voce narrante in una pellicola? Impossibile. Invece la parola scritta lo fa, capisci vecchio mio? Lo fa dicendo solo ‘’spirito”. Ma l’immagine non puo’ dire, l’immagine deve far vedere.
Bacioni
Sergio

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23745 Massimo Maugeri Fri, 22 Feb 2008 21:35:44 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23745 @ Laura Grazie a te :) @ Laura
Grazie a te
:)

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Di: laura http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23741 laura Fri, 22 Feb 2008 21:12:25 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23741 grazie Massimo, per aver pubblicato la recensione di D'Orrico. Io sono d'accordo con lui. Per quanto riguarda 'La forza del passato', è un altro libro di Veronesi che molto ho amato.Però a amio parere , il libro più bello di Veronesiè 'Gli sfiorati',un libo straordinario. E qualcos adelle atmosfere di quel libro ho ritrovato in uno scrittore che secondo me è il più promettente in assoluto:Mario Desiati, autore dei bellissimi 'Neppure quando è notte', e 'Vita precaria, amore eterno. grazie Massimo, per aver pubblicato la recensione di D’Orrico.
Io sono d’accordo con lui.
Per quanto riguarda ‘La forza del passato’, è un altro libro di Veronesi che molto ho amato.Però a amio parere , il libro più bello di Veronesiè ‘Gli sfiorati’,un libo straordinario.
E qualcos adelle atmosfere di quel libro ho ritrovato in uno scrittore che secondo me è il più promettente in assoluto:Mario Desiati, autore dei bellissimi ‘Neppure quando è notte’, e ‘Vita precaria, amore eterno.

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23718 Massimo Maugeri Fri, 22 Feb 2008 15:53:44 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23718 Qui il sito del film: http://www.sweeneytoddmovie.com/ Qui il sito del film:
http://www.sweeneytoddmovie.com/

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23717 Massimo Maugeri Fri, 22 Feb 2008 15:47:50 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23717 A proposito di film tratti da libri vi segnalo che oggi dovrebbe uscire il film che TIM BURTON ha tratto da SWEENEY TODD, romanzo anonimo dell'800 (edito da Newton&Compton). http://www.internetbookshop.it/code/9788854109896/anonimo/sweeney-todd-diabolico.html --- <em>Il film è con Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Alan Rickman, Timothy Spall e Sacha Baron Cohen. Ispirato alla figura di un barbiere assassino impiccato a Londra alla fine del Settecento, il personaggio di Sweeney Todd deve molto all’intraprendenza di Edward Lloyd, un edicolante capace di creare un piccolo impero grazie alla pubblicazione clandestina di libri proibiti e alle edizioni pirata dei grandi successi del suo tempo. Il genere letterario che rese famoso questo strano editore assunse il nome di “Penny Dreadful” per via del prezzo di copertina estremamente basso delle sue pubblicazioni e per le abbondanti dosi di sangue e orrore che i libri di Lloyd dispensavano a un pubblico sempre sensibile al fascino oscuro della morte violenta. Inizialmente attribuito all’inventiva di James Malcom Rymer, uno scrittore già noto per i suoi romanzi gotici nonché stretto collaboratore di Lloyd, Sweeney Todd è in realtà un’opera collettiva, scritta in tempi diversi da autori diversi con il coordinamento dello stesso Lloyd e la partecipazione, molto probabile, di Thomas Prest, un altro degli autori di punta della “Penny Dreadful”. Dopo numerosi musical che hanno avuto uno straordinario successo a Broadway, nel 2007 Tim Burton ha tratto da questo libro un film in cui Johnny Depp interpreta Sweeney Todd.</em> --- Ne hanno parlato all gr2 di questa mattina (intervista a Cristiano Armati su SWEENEY TODD). Vi lascio il link: http://www.rai.tv/mppopupaudio/0,,Grr%5E0%5E23251,0.html So che il libro sta andando bene e che è in 22° posizione nella classifica di narrativa straniera di DEMOSCOPEA. Se vi capita di vedere il film fatemi sapere com’è. A proposito di film tratti da libri vi segnalo che oggi dovrebbe uscire il film che TIM BURTON ha tratto da SWEENEY TODD, romanzo anonimo dell’800 (edito da Newton&Compton).
http://www.internetbookshop.it/code/9788854109896/anonimo/sweeney-todd-diabolico.html

Il film è con Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Alan Rickman, Timothy Spall e Sacha Baron Cohen.
Ispirato alla figura di un barbiere assassino impiccato a Londra alla fine del Settecento, il personaggio di Sweeney Todd deve molto all’intraprendenza di Edward Lloyd, un edicolante capace di creare un piccolo impero grazie alla pubblicazione clandestina di libri proibiti e alle edizioni pirata dei grandi successi del suo tempo. Il genere letterario che rese famoso questo strano editore assunse il nome di “Penny Dreadful” per via del prezzo di copertina estremamente basso delle sue pubblicazioni e per le abbondanti dosi di sangue e orrore che i libri di Lloyd dispensavano a un pubblico sempre sensibile al fascino oscuro della morte violenta. Inizialmente attribuito all’inventiva di James Malcom Rymer, uno scrittore già noto per i suoi romanzi gotici nonché stretto collaboratore di Lloyd, Sweeney Todd è in realtà un’opera collettiva, scritta in tempi diversi da autori diversi con il coordinamento dello stesso Lloyd e la partecipazione, molto probabile, di Thomas Prest, un altro degli autori di punta della “Penny Dreadful”.
Dopo numerosi musical che hanno avuto uno straordinario successo a Broadway, nel 2007 Tim Burton ha tratto da questo libro un film in cui Johnny Depp interpreta Sweeney Todd.


Ne hanno parlato all gr2 di questa mattina (intervista a Cristiano Armati su SWEENEY TODD). Vi lascio il link:
http://www.rai.tv/mppopupaudio/0,,Grr%5E0%5E23251,0.html
So che il libro sta andando bene e che è in 22° posizione nella classifica di narrativa straniera di DEMOSCOPEA.
Se vi capita di vedere il film fatemi sapere com’è.

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23716 Massimo Maugeri Fri, 22 Feb 2008 15:47:17 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23716 Maria Lucia, tutto a posto? :) Maria Lucia, tutto a posto?
:)

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Di: Maria Lucia Riccioli http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23694 Maria Lucia Riccioli Thu, 21 Feb 2008 22:59:29 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23694 :-( :-(

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-5/#comment-23690 Massimo Maugeri Thu, 21 Feb 2008 22:50:10 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23690 @ Sergio (di nuovo) provo a rispondere al tuo commento delle ore 1:42. - C'è un uomo. Solo. Un uomo che passeggia nella notte fredda. Ha lo sguardo basso e sconsolato. Indossa un lungo cappotto grigio e tiene le mani in tasca. Accanto a lui rovine e detriti. Voce fuori campo: <em>Gelida messaggera della notte, sei ritornata limpida ai balconi delle case distrutte, a illuminare le tombe ignote, i derelitti resti della terra fumante.</em>. L'uomo s'inginocchia. Raccoglie un sasso e se lo rivolta tra le mani. Una ciocca di capelli gli ricopre l'occhio destro. Ora alza il capo e chiude gli occhi. Una lacrima si allunga sullo zigomo sinistro. Voce fuori campo: <em>Qui riposa il nostro sogno. E solitaria volgi verso il nord, dove ogni cosa corre senza luce alla morte, e tu resisti.</em>. Apre le mani e il sasso cade, rotolando vicino ai suoi piedi. @ Sergio (di nuovo)
provo a rispondere al tuo commento delle ore 1:42.
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C’è un uomo. Solo. Un uomo che passeggia nella notte fredda. Ha lo sguardo basso e sconsolato. Indossa un lungo cappotto grigio e tiene le mani in tasca. Accanto a lui rovine e detriti.
Voce fuori campo: Gelida messaggera della notte,
sei ritornata limpida ai balconi
delle case distrutte, a illuminare
le tombe ignote, i derelitti resti
della terra fumante.
.
L’uomo s’inginocchia. Raccoglie un sasso e se lo rivolta tra le mani. Una ciocca di capelli gli ricopre l’occhio destro.
Ora alza il capo e chiude gli occhi. Una lacrima si allunga sullo zigomo sinistro.
Voce fuori campo: Qui riposa
il nostro sogno. E solitaria volgi
verso il nord, dove ogni cosa corre
senza luce alla morte, e tu resisti.
.
Apre le mani e il sasso cade, rotolando vicino ai suoi piedi.

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Di: Enrico Gregori http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23689 Enrico Gregori Thu, 21 Feb 2008 22:46:55 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23689 @ fausta: oppure sabato e domenica veniamo a spegnere te. ps: te la sei cercata :-) @ fausta:
oppure sabato e domenica veniamo a spegnere te.
ps: te la sei cercata
:-)

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Di: Massimo Maugeri http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23687 Massimo Maugeri Thu, 21 Feb 2008 22:41:17 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23687 @ Sergio. Ti accontento riportandoti la recensione di Antonio D'Orrico pubblicata proprio in occasione dell'uscita de "La forza del passato" - Di Sandro Veronesi hanno detto di tutto. Che è uno scrittore di regime (leggi Veltroni). Che è antipatico. Che ha venature cielline (!!!). Che è un figlio di... (nel senso metaforico dell'espressione). Che fa lo scemo per non andar in guerra. Che è un bestsellerista. Che è di Prato (e come dicono da quelle parti: io son di Praho e voglio esser rispettaho)... Ma si sono dimenticati di dire la cosa più vera e importante. Che Sandro Veronesi, 41 anni, architetto, padre di tre figli, è il più grande scrittore italiano della sua generazione e di quella successiva e di quasi tutta quella precedente. Il sigillo, per chi avesse ancora bisogno di conferme, è qui sulla mia scrivania, ancora fresco di stampa, ed è il suo nuovo romanzo, La forza del passato (in uscita tra una settimana da Bompiani, pagine 250, lire 28mila). Penso che Alberto Moravia, che lo ebbe caro, sarebbe stato contento di questo romanzo. E lo sarebbe stato per più ragioni. Per il plot, per la trama, tanto per cominciare. Uno scrittore, sposato, un figlio piccolo, specializzato in letteratura per ragazzi, scopre che il padre appena morto (era un generale dei servizi segreti italiani, amico di Andreotti, tanto da andarci a messa assieme) non era in realtà italiano ma russo, e si chiamava Arkady Fokin, ed era stato a soli 24 anni maggiore del Kgb, e aveva due lauree e parlava tre lingue, e giocava agli scacchi con la perizia di un gran maestro. E, naturalmente, era comunista. Arkady Fokin era quello che nel gergo dei servizi segreti americani si chiama L. T. (Long Term), e in quello dei servizi segreti sovietici si chiamava butylka vi morie (bottiglia nel mare). Quella di Arkady Fokin era una missione estrema: "trasformarsi in un italiano, entrare nei servizi segreti militati italiani e conquistare una posizione di comando tramite regolare carriera". Una missione a lungo termine, una bottiglia lanciata nel mare nella speranza risicata, piena di incognite, che arrivi, un giorno molto lontano, a destinazione. Sì, sarebbe piaciuta molto a Moravia questa storia, specialmente ora che l'Urss non esiste più, e il comunismo sta come sta. Gli sarebbe piaciuto scoprire che quel ragazzo che andava ogni tanto a trovarlo ("ma ci andavo raramente e non ogni pomeriggio come avrei dovuto fare, perché ero timido, temevo di disturbare", ricorda Veronesi), sarebbe stato capace di architettare una trama all'altezza di Le Carré. E Moravia sarebbe stato più che contento, direi felice, addirittura commosso, di scoprire che il protagonista occulto di La forza del passato è Pier Paolo Pasolini, o per meglio dire una sua poesia, precisamente quella che Orson Welles recita in una memorabile scena del film La ricotta (la scena più bella del cinema italiano, secondo Veronesi): Io sono una forza del passato, solo nella tradizione è il mio amore. Vengo dai ruderi, dalle chiese, dalle pale d'altare, dai borghi abbandonati sugli Appennini o le Prealpi... Giro per la Tuscolana come un pazzo, per l'Appia come un cane senza padrone. O guardo i crepuscoli, le mattine su Roma, sulla Ciociaria, sul mondo, come i primi atti della Dopostoria, cui io assisto, per privilegio d'anagrafe, dall'orlo estremo di qualche età sepolta. Quanti poeti ha una generazione? È la domanda che fece un Moravia urlante e bellissimo all'orazione funebre di Pasolini e si rispose: pochi, ancor meno che le dita di una mano. Era il 1963 quando il poeta Pasolini parlò della forza del passato e della fine ("ma quella vera, non quella che poi è stata di moda", sottolinea Veronesi) della storia. È questo è il grande tema del romanzo di Veronesi (a partire dal titolo): "La cancellazione del passato. Nella formazione delle persone il passato conta sempre meno. Nei primi Anni Sessanta finì un'era che era cominciata con l'Illuminismo. Cominciò, come dice Pasolini, la Dopostoria. La parola d'ordine fu modernizzarsi, liberarsi dal passato. La mia è la prima generazione che ha vissuto in un tempo in cui esisteva già una cultura giovanile. Io quando guardo le foto di mio padre da giovane vedo che era vestito da vecchio, non esisteva vestirsi da giovani. C'è stato un cambiamento enorme. Se guardo i film di una volta vedo che nei night club ci andavano i vecchi (Mario Carotenuto, per intendersi, me lo ricordo benissimo), ora invece sono i giovani ad affollare le discoteche, l'equivalente dei night di allora. Ai giovani il passato non importa. O è stato fatto in modo che non gli importasse, perché il discorso è soprattutto politico". Gianni, lo scrittore per ragazzi eroe della Forza del passato, cerca di raccontare ai suoi piccoli lettori quel mondo scomparso, a partire dalle merende dell'infanzia di una volta, tutte rigorosamente non confezionate: ricotta col cacao; pane burro e zucchero; nutella con le pere... Una trovata morettiana, ma anche proustiana, e di morettiano nel romanzo c'è anche il mezzo di locomozione del protagonista, una vecchia Vespa (come in Caro diario) con la tendenza ad ingolfarsi che ha un ruolo non minore nel dipanarsi della storia. Che cos'è un'altra delle tante citazioni a volte esibite, altre volte cifrate, che corrono lungo tutto il testo (si va dai versi di Vittorio Sereni a quelli di Pasquale Panella)? "No, in questo caso più che una citazione premeditata è una consonanza di generazione, di gusto. Di Moretti amo moltissimo le cose meno morettiane (meno citate, appunto), le difficoltà di comunicazione, ad esempio, come in quella scena in cui Michele Apicella, il protagonista dei film di Moretti, per non sentire i problemi d'amore tra il padre e la madre alza la radio a massimo volume e ascolta un disco di Loredana Bertè. Per quanto riguarda la Vespa direi che c'è una differenza fondamentale: Moretti gira in Vespa per Roma per romanticismo, io no, lo faccio per necessità, per arrivare nei posti in tempo. Ne farei volentieri a meno, senza rimpianti. Non c'è poesia nell'uso che faccio della Vespa". Anche la presenza di Moretti nel romanzo di Veronesi avrebbe fatto contento Moravia. Quando uscirono i primi film del regista romano subito si disse che c'era qualcosa, e non solo il nome, che legava Michele Apicella al Michele protagonista degli Indifferenti. C'era qualcosa di Moravia in Moretti ed è quindi quasi automatico che c'è qualcosa di Moretti in Veronesi. Almeno in questo senso il passato non si cancella. Saranno anche stati pochi i pomeriggi che Veronesi andò a trovare Moravia, ma come le merende di quando era bambino non li ha dimenticati. "Se uno mi dice che discendo da lì, rispondo subito di sì, perché prima di rifiutare una cosa del genere uno ci pensa. Però poi bisogna riflettere. Il Michele di Moravia è del '29 e per il suo tempo era un marziano, diciamo che è diventato attuale solo adesso, solo da poco. Moravia era un formidabile anticipatore della società, dell'Italia che sarebbe venuta. Io non ho mai pensato di essere un anticipatore". Ora diranno che Veronesi oltre che scrittore di regime, antipatico e pratese, è anche un falso modesto. Però anticipatore lo è stato e proprio in quest'ultimo romanzo. Questa storia del padre spia comunista, Veronesi l'ha inventata prima che scoppiasse l'affare Mitrokhin, il dossier sugli italiani presunti agenti del Kgb. "È vero, infatti poi il dossier l'ho letto subito e con grande curiosità e l'ho trovato molto appassionante, un romanzo di Le Carré ma senza stile, una nuda collezione di destini". Usa spesso la parola "destino" Sandro Veronesi, una parola amata dagli scrittori (inventori di destini, sognatori di destini). E nel suo destino personale c'era Pasolini. Quando Veronesi, a metà degli Anni 80, si trasferì a Roma fu ospite nello studio dello scrittore Vincenzo Cerami. Qui erano raccolti molti effetti del poeta assassinato a Ostia. "Per qualche tempo, addirittura, dormii nel letto di Pasolini. Ne ebbi una conoscenza anche di tipo feticistico". Forse allora cominciò a nascere La forza del passato, è stato un lungo cammino ma ne è valsa la pena. Tante cose ci sarebbero ancora da dire su questo romanzo: le spinose pagine sul tradimento coniugale, il complesso personaggio, cultore della cucina di rosticceria, che rivela a Gianni la vera identità paterna... E sul suo stile, lieve e denso. Ma può bastare: i romanzi, belli, vanno letti. Quanti poeti ha una generazione? Si chiedeva un furente Moravia commemorando Pasolini morto. Ancor meno delle dita di una mano. E quanti narratori ha una generazione? Uno, Sandro Veronesi, ce l'abbiamo di sicuro, teniamocelo stretto, teniamocelo caro. Antonio D'Orrico @ Sergio.
Ti accontento riportandoti la recensione di Antonio D’Orrico pubblicata proprio in occasione dell’uscita de “La forza del passato”
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Di Sandro Veronesi hanno detto di tutto. Che è uno scrittore di regime (leggi Veltroni). Che è antipatico. Che ha venature cielline (!!!). Che è un figlio di… (nel senso metaforico dell’espressione). Che fa lo scemo per non andar in guerra. Che è un bestsellerista. Che è di Prato (e come dicono da quelle parti: io son di Praho e voglio esser rispettaho)… Ma si sono dimenticati di dire la cosa più vera e importante. Che Sandro Veronesi, 41 anni, architetto, padre di tre figli, è il più grande scrittore italiano della sua generazione e di quella successiva e di quasi tutta quella precedente. Il sigillo, per chi avesse ancora bisogno di conferme, è qui sulla mia scrivania, ancora fresco di stampa, ed è il suo nuovo romanzo, La forza del passato (in uscita tra una settimana da Bompiani, pagine 250, lire 28mila). Penso che Alberto Moravia, che lo ebbe caro, sarebbe stato contento di questo romanzo. E lo sarebbe stato per più ragioni. Per il plot, per la trama, tanto per cominciare. Uno scrittore, sposato, un figlio piccolo, specializzato in letteratura per ragazzi, scopre che il padre appena morto (era un generale dei servizi segreti italiani, amico di Andreotti, tanto da andarci a messa assieme) non era in realtà italiano ma russo, e si chiamava Arkady Fokin, ed era stato a soli 24 anni maggiore del Kgb, e aveva due lauree e parlava tre lingue, e giocava agli scacchi con la perizia di un gran maestro. E, naturalmente, era comunista. Arkady Fokin era quello che nel gergo dei servizi segreti americani si chiama L. T. (Long Term), e in quello dei servizi segreti sovietici si chiamava butylka vi morie (bottiglia nel mare). Quella di Arkady Fokin era una missione estrema: “trasformarsi in un italiano, entrare nei servizi segreti militati italiani e conquistare una posizione di comando tramite regolare carriera”. Una missione a lungo termine, una bottiglia lanciata nel mare nella speranza risicata, piena di incognite, che arrivi, un giorno molto lontano, a destinazione. Sì, sarebbe piaciuta molto a Moravia questa storia, specialmente ora che l’Urss non esiste più, e il comunismo sta come sta. Gli sarebbe piaciuto scoprire che quel ragazzo che andava ogni tanto a trovarlo (“ma ci andavo raramente e non ogni pomeriggio come avrei dovuto fare, perché ero timido, temevo di disturbare”, ricorda Veronesi), sarebbe stato capace di architettare una trama all’altezza di Le Carré. E Moravia sarebbe stato più che contento, direi felice, addirittura commosso, di scoprire che il protagonista occulto di La forza del passato è Pier Paolo Pasolini, o per meglio dire una sua poesia, precisamente quella che Orson Welles recita in una memorabile scena del film La ricotta (la scena più bella del cinema italiano, secondo Veronesi): Io sono una forza del passato, solo nella tradizione è il mio amore. Vengo dai ruderi, dalle chiese, dalle pale d’altare, dai borghi abbandonati sugli Appennini o le Prealpi… Giro per la Tuscolana come un pazzo, per l’Appia come un cane senza padrone. O guardo i crepuscoli, le mattine su Roma, sulla Ciociaria, sul mondo, come i primi atti della Dopostoria, cui io assisto, per privilegio d’anagrafe, dall’orlo estremo di qualche età sepolta. Quanti poeti ha una generazione? È la domanda che fece un Moravia urlante e bellissimo all’orazione funebre di Pasolini e si rispose: pochi, ancor meno che le dita di una mano. Era il 1963 quando il poeta Pasolini parlò della forza del passato e della fine (“ma quella vera, non quella che poi è stata di moda”, sottolinea Veronesi) della storia. È questo è il grande tema del romanzo di Veronesi (a partire dal titolo): “La cancellazione del passato. Nella formazione delle persone il passato conta sempre meno. Nei primi Anni Sessanta finì un’era che era cominciata con l’Illuminismo. Cominciò, come dice Pasolini, la Dopostoria. La parola d’ordine fu modernizzarsi, liberarsi dal passato. La mia è la prima generazione che ha vissuto in un tempo in cui esisteva già una cultura giovanile. Io quando guardo le foto di mio padre da giovane vedo che era vestito da vecchio, non esisteva vestirsi da giovani. C’è stato un cambiamento enorme. Se guardo i film di una volta vedo che nei night club ci andavano i vecchi (Mario Carotenuto, per intendersi, me lo ricordo benissimo), ora invece sono i giovani ad affollare le discoteche, l’equivalente dei night di allora. Ai giovani il passato non importa. O è stato fatto in modo che non gli importasse, perché il discorso è soprattutto politico”. Gianni, lo scrittore per ragazzi eroe della Forza del passato, cerca di raccontare ai suoi piccoli lettori quel mondo scomparso, a partire dalle merende dell’infanzia di una volta, tutte rigorosamente non confezionate: ricotta col cacao; pane burro e zucchero; nutella con le pere… Una trovata morettiana, ma anche proustiana, e di morettiano nel romanzo c’è anche il mezzo di locomozione del protagonista, una vecchia Vespa (come in Caro diario) con la tendenza ad ingolfarsi che ha un ruolo non minore nel dipanarsi della storia. Che cos’è un’altra delle tante citazioni a volte esibite, altre volte cifrate, che corrono lungo tutto il testo (si va dai versi di Vittorio Sereni a quelli di Pasquale Panella)? “No, in questo caso più che una citazione premeditata è una consonanza di generazione, di gusto. Di Moretti amo moltissimo le cose meno morettiane (meno citate, appunto), le difficoltà di comunicazione, ad esempio, come in quella scena in cui Michele Apicella, il protagonista dei film di Moretti, per non sentire i problemi d’amore tra il padre e la madre alza la radio a massimo volume e ascolta un disco di Loredana Bertè. Per quanto riguarda la Vespa direi che c’è una differenza fondamentale: Moretti gira in Vespa per Roma per romanticismo, io no, lo faccio per necessità, per arrivare nei posti in tempo. Ne farei volentieri a meno, senza rimpianti. Non c’è poesia nell’uso che faccio della Vespa”. Anche la presenza di Moretti nel romanzo di Veronesi avrebbe fatto contento Moravia. Quando uscirono i primi film del regista romano subito si disse che c’era qualcosa, e non solo il nome, che legava Michele Apicella al Michele protagonista degli Indifferenti. C’era qualcosa di Moravia in Moretti ed è quindi quasi automatico che c’è qualcosa di Moretti in Veronesi. Almeno in questo senso il passato non si cancella. Saranno anche stati pochi i pomeriggi che Veronesi andò a trovare Moravia, ma come le merende di quando era bambino non li ha dimenticati. “Se uno mi dice che discendo da lì, rispondo subito di sì, perché prima di rifiutare una cosa del genere uno ci pensa. Però poi bisogna riflettere. Il Michele di Moravia è del ‘29 e per il suo tempo era un marziano, diciamo che è diventato attuale solo adesso, solo da poco. Moravia era un formidabile anticipatore della società, dell’Italia che sarebbe venuta. Io non ho mai pensato di essere un anticipatore”. Ora diranno che Veronesi oltre che scrittore di regime, antipatico e pratese, è anche un falso modesto. Però anticipatore lo è stato e proprio in quest’ultimo romanzo. Questa storia del padre spia comunista, Veronesi l’ha inventata prima che scoppiasse l’affare Mitrokhin, il dossier sugli italiani presunti agenti del Kgb. “È vero, infatti poi il dossier l’ho letto subito e con grande curiosità e l’ho trovato molto appassionante, un romanzo di Le Carré ma senza stile, una nuda collezione di destini”. Usa spesso la parola “destino” Sandro Veronesi, una parola amata dagli scrittori (inventori di destini, sognatori di destini). E nel suo destino personale c’era Pasolini. Quando Veronesi, a metà degli Anni 80, si trasferì a Roma fu ospite nello studio dello scrittore Vincenzo Cerami. Qui erano raccolti molti effetti del poeta assassinato a Ostia. “Per qualche tempo, addirittura, dormii nel letto di Pasolini. Ne ebbi una conoscenza anche di tipo feticistico”. Forse allora cominciò a nascere La forza del passato, è stato un lungo cammino ma ne è valsa la pena. Tante cose ci sarebbero ancora da dire su questo romanzo: le spinose pagine sul tradimento coniugale, il complesso personaggio, cultore della cucina di rosticceria, che rivela a Gianni la vera identità paterna… E sul suo stile, lieve e denso. Ma può bastare: i romanzi, belli, vanno letti. Quanti poeti ha una generazione? Si chiedeva un furente Moravia commemorando Pasolini morto. Ancor meno delle dita di una mano. E quanti narratori ha una generazione? Uno, Sandro Veronesi, ce l’abbiamo di sicuro, teniamocelo stretto, teniamocelo caro.

Antonio D’Orrico

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Di: francesco di domenico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23681 francesco di domenico Thu, 21 Feb 2008 22:25:14 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23681 "Brucia Troia!" No, io la frase riuscii a finirla, poi scappai via, lei si arrabbiò. “Brucia Troia!”
No, io la frase riuscii a finirla, poi scappai via, lei si arrabbiò.

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Di: francesco di domenico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23679 francesco di domenico Thu, 21 Feb 2008 22:23:17 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23679 Il Maniaco (liberamente tratto da un racconto di Sergio sozi) Euterpe Santoanastaso - Alessandro Gassman Vlado Novak - Giancarlo Giannini Marialisa Cosulich - Scarlett Johansson Agata Vacotto - Silvia Leonardi Musica Luis Enrique Bacalov Regia di Carlo Mazzacurati Il Maniaco
(liberamente tratto da un racconto di Sergio sozi)
Euterpe Santoanastaso – Alessandro Gassman
Vlado Novak – Giancarlo Giannini
Marialisa Cosulich – Scarlett Johansson
Agata Vacotto – Silvia Leonardi
Musica Luis Enrique Bacalov

Regia di Carlo Mazzacurati

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23675 Sergio Sozi Thu, 21 Feb 2008 22:20:33 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23675 Bene, Fausta, domani. Intanto sono contento che i nostri gusti combacino. 'Notte Bene, Fausta, domani. Intanto sono contento che i nostri gusti combacino.
‘Notte

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Di: F. M. Rigo http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23672 F. M. Rigo Thu, 21 Feb 2008 22:00:38 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23672 Ragazzi che fate sabato e domenica? Mi date una mano a lavare Grego che è sporco dentro? :-) Sozi, scusa il ritardo domani ti scrivo. "La forza del passato" per me è anche più bello di Caos. Devo dire che in quel caso il libro mi è piaciuto di più del film. Provavo una grande empatia per il protagonista, tra l'altro mi pare rispetto agli altri libri di Veronesi il più "compiuto" anche come trama. ha un andamento ben orchestrato, gli avvenimenti si susseguono con regolarità, l'attenzione rimane viva. Forse ilsuo libro più bello. "Brucia Troia" non sono riuscita a finirlo. Ragazzi che fate sabato e domenica? Mi date una mano a lavare Grego che è sporco dentro?
:-)

Sozi, scusa il ritardo domani ti scrivo.
“La forza del passato” per me è anche più bello di Caos. Devo dire che in quel caso il libro mi è piaciuto di più del film. Provavo una grande empatia per il protagonista, tra l’altro mi pare rispetto agli altri libri di Veronesi il più “compiuto” anche come trama. ha un andamento ben orchestrato, gli avvenimenti si susseguono con regolarità, l’attenzione rimane viva. Forse ilsuo libro più bello. “Brucia Troia” non sono riuscita a finirlo.

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23671 Sergio Sozi Thu, 21 Feb 2008 21:20:55 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23671 Avrei piacere a sentire qualche altra opinione in merito a ''La forza del passato'' di Veronesi. Chi si offre? Io mi sono gia' espresso sopra. Avrei piacere a sentire qualche altra opinione in merito a ”La forza del passato” di Veronesi. Chi si offre? Io mi sono gia’ espresso sopra.

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Di: Maria Lucia Riccioli http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23665 Maria Lucia Riccioli Thu, 21 Feb 2008 19:02:13 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23665 Vero è quello a cui accennava Zauberei: la movie-therapy, la film-terapia (si dice così?) in cui si usano i film come stimolo per la psicoterapia (ad ogni pena il suo film...). Sono d'accordo con Simonetta... ci sono ben pochi adattamenti degni del libro di partenza, ma non possiamo perdere di vista il fatto che i linguaggi sono differenti, che il lavoro di squadra del film è diverso da quello dell'autore che se tutto va bene fa solo lo sceneggiatore o il soggettista. A proposito: certi ultimi Montalbano sono raffazzonati e confusionari, non rendono giustizia ai libri nonostante la mano di Camilleri nella sceneggiatura. Non mi alzo mai quando guardo un film: masochismo puro a volte, ma libri e film checché ne dica Pennac si terminano, per rispetto verso chi ti sta proponendo il frutto della sua arte, più o meno riuscito... Film che adoro: essendo una austeniana convinta, RAGIONE E SENTIMENTO ()Sense and Sensibility) di Ang Lee, EMMA, PRIDE AND PREJUDICE in tutte le versioni (che sto collezionando). L'età dell'innocenza: splendido a dir poco, perla rara che riesce ad essere più bello del pur bellissimo romanzo di Edith Wharton. Il nome della rosa (brava Laura, approvo in toto i tuoi interventi sia su Eco che su Veronesi). Washington Square e Ritratto di signora. Da vedere. Oliver Twist. Jane Eyre (versione antica con Orson Welles e Liz Taylor e Joan Fontaine e versione di Zeffirelli con Charlotte Gainsbourg e William Hurt. Che uomo!!! Un Rochester da paura). Qualcos'altro mi verrà. Buona lettura e buona visione... Vero è quello a cui accennava Zauberei: la movie-therapy, la film-terapia (si dice così?) in cui si usano i film come stimolo per la psicoterapia (ad ogni pena il suo film…).
Sono d’accordo con Simonetta… ci sono ben pochi adattamenti degni del libro di partenza, ma non possiamo perdere di vista il fatto che i linguaggi sono differenti, che il lavoro di squadra del film è diverso da quello dell’autore che se tutto va bene fa solo lo sceneggiatore o il soggettista. A proposito: certi ultimi Montalbano sono raffazzonati e confusionari, non rendono giustizia ai libri nonostante la mano di Camilleri nella sceneggiatura.
Non mi alzo mai quando guardo un film: masochismo puro a volte, ma libri e film checché ne dica Pennac si terminano, per rispetto verso chi ti sta proponendo il frutto della sua arte, più o meno riuscito…
Film che adoro: essendo una austeniana convinta, RAGIONE E SENTIMENTO ()Sense and Sensibility) di Ang Lee, EMMA, PRIDE AND PREJUDICE in tutte le versioni (che sto collezionando).
L’età dell’innocenza: splendido a dir poco, perla rara che riesce ad essere più bello del pur bellissimo romanzo di Edith Wharton.
Il nome della rosa (brava Laura, approvo in toto i tuoi interventi sia su Eco che su Veronesi).
Washington Square e Ritratto di signora. Da vedere.
Oliver Twist.
Jane Eyre (versione antica con Orson Welles e Liz Taylor e Joan Fontaine e versione di Zeffirelli con Charlotte Gainsbourg e William Hurt. Che uomo!!! Un Rochester da paura).
Qualcos’altro mi verrà.
Buona lettura e buona visione…

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23664 Sergio Sozi Thu, 21 Feb 2008 18:27:41 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23664 Rossella, scusami per la tardiva quanto lapidaria risposta a quanto da te ultimamente scritto su quel discorso che stiamo portando avanti. Eccola: a mio avviso la crisi attuale (la cui analisi fattuale io condivido contrariamente alla tua disamina delle cause) la crisi di oggi, dicevo, e' dovuta principalmente alla doppia deriva materialistico-nichilista e non al neopaganesimo, che non vedo in giro. Purtroppo. Purtroppo perche' le religioni di tipo pagano in confronto al nichilismo materialistico sarebbero per tutti noi una speranza, se non un punto d'arrivo. Ciao cara Sergio Rossella,
scusami per la tardiva quanto lapidaria risposta a quanto da te ultimamente scritto su quel discorso che stiamo portando avanti.
Eccola: a mio avviso la crisi attuale (la cui analisi fattuale io condivido contrariamente alla tua disamina delle cause) la crisi di oggi, dicevo, e’ dovuta principalmente alla doppia deriva materialistico-nichilista e non al neopaganesimo, che non vedo in giro. Purtroppo. Purtroppo perche’ le religioni di tipo pagano in confronto al nichilismo materialistico sarebbero per tutti noi una speranza, se non un punto d’arrivo.
Ciao cara

Sergio

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Di: Enrico Gregori http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23661 Enrico Gregori Thu, 21 Feb 2008 17:58:36 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23661 @ fausta: sono sporco dentro @ fausta:
sono sporco dentro

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Di: F. M. Rigo http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23660 F. M. Rigo Thu, 21 Feb 2008 17:46:37 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23660 Onan, non mi toccare Grego che me lo riempi di virus e io lo voglio tutto pulitino. :-) Onan, non mi toccare Grego che me lo riempi di virus e io lo voglio tutto pulitino.
:-)

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Di: Onan il Barbaro http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23658 Onan il Barbaro Thu, 21 Feb 2008 15:18:22 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23658 @Enrico Come mai? Credevo ti ci saresti sparato come una fucilata di winchester! @Enrico

Come mai? Credevo ti ci saresti sparato come una fucilata di winchester!

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Di: Enrico Gregori http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23655 Enrico Gregori Thu, 21 Feb 2008 15:12:40 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23655 @ onan: non ancora e non so se e quando lo vedrò. del libro penso che sia un capolavoro @ onan:
non ancora e non so se e quando lo vedrò. del libro penso che sia un capolavoro

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Di: Onan il Barbaro http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23653 Onan il Barbaro Thu, 21 Feb 2008 14:59:56 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23653 @Enrico Gregori L'hai visto 'Non è un paese per vecchi'? Com'è? Vale? Torno ai miei palmi. @Enrico Gregori

L’hai visto ‘Non è un paese per vecchi’? Com’è? Vale?

Torno ai miei palmi.

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Di: zauberei http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23652 zauberei Thu, 21 Feb 2008 14:07:32 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23652 eventissimo! Io non dispererei! Io ci ho tutte amiche che so slou ma più slou che nun ze po', io in primis naturallement. So slouissima, infatti mi pare di non combinare una sega. Ma bada che la slouitudine ci ha anche i suoi effetti negtivi. eh:) eventissimo!
Io non dispererei!
Io ci ho tutte amiche che so slou ma più slou che nun ze po’, io in primis naturallement. So slouissima, infatti mi pare di non combinare una sega. Ma bada che la slouitudine ci ha anche i suoi effetti negtivi. eh:)

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Di: eventounico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23651 eventounico Thu, 21 Feb 2008 13:45:47 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23651 Sergio, dopo le tartarughe Ninja, quelle Sozji. I bambini impazziranno e quando chiederanno alle loro mamme stiamo pronti con...Euterpe. Eh ? Sergio, dopo le tartarughe Ninja, quelle Sozji. I bambini impazziranno e quando chiederanno alle loro mamme stiamo pronti con…Euterpe. Eh ?

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Di: Sergio Sozi http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23650 Sergio Sozi Thu, 21 Feb 2008 13:40:04 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23650 Si': sono una tartaruga. Slovena. Giratemi un film: un luuuuungometraggio! Si’: sono una tartaruga. Slovena. Giratemi un film: un luuuuungometraggio!

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Di: gea http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23649 gea Thu, 21 Feb 2008 13:31:30 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23649 posso votare? nice 'n slow, baby, nice 'n slow... :-) posso votare?
nice ‘n slow, baby, nice ‘n slow…
:-)

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Di: eventounico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23648 eventounico Thu, 21 Feb 2008 13:29:02 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23648 Enrì ti preferisco quando mi "mandi" a quando dici queste cose lacrimevoli :-) Saròdisperato (sempre) per i tuoi post, ma tu sei fast o slow ? Sergio è quasi sloweno, didò fastare in piattaforma (ti ricordi Francè ?). Secondo me Zauberei è slost. Dipende da quanto tempo è al camp. Enrì ti preferisco quando mi “mandi” a quando dici queste cose lacrimevoli :-)
Saròdisperato (sempre) per i tuoi post, ma tu sei fast o slow ?
Sergio è quasi sloweno, didò fastare in piattaforma (ti ricordi Francè ?). Secondo me Zauberei è slost. Dipende da quanto tempo è al camp.

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Di: Enrico Gregori http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23647 Enrico Gregori Thu, 21 Feb 2008 13:20:23 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23647 ma daiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. sennò ci tocca raggiungerti a tutti quanti. non possiamo fare a meno di te ma daiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. sennò ci tocca raggiungerti a tutti quanti. non possiamo fare a meno di te

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Di: eventounico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23646 eventounico Thu, 21 Feb 2008 13:11:40 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23646 ok ok

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Di: Enrico Gregori http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23644 Enrico Gregori Thu, 21 Feb 2008 13:10:27 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23644 very fast very fast

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Di: eventounico http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/comment-page-4/#comment-23643 eventounico Thu, 21 Feb 2008 13:09:03 +0000 http://letteratitudine.blog.kataweb.it/2008/02/19/meglio-i-libri-o-i-film-tratti-dai-libri/#comment-23643 subito ? subito ?

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